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Revue de presse

(mai - décembre  2014)
 Quelques articles à propos de Vieille-église ...

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30.12
09.12
27.11
26.11
25.11
05.11
18.10
17.10
17.10
12.10
07.10
24.09
Cambriolage Jean Roulland
Téléthon
Co-voiturage
Gainsbourg
Zone d'activités
VE : Bilan et projets
Fête de la chicorée
Repas des ainés
La sécherie Leroux
Expo O. d'Hulst à Lille
Fête de la chicorée
Sport à l'école
24.09
18.08
14.08
27.07
21.07
21.07
08.07
03.07
26.06
15.06
12.06
Les Belges et la grande guerre
Parafoudres par ErDF
Thème de la chicorée
rénovation sécherie
Animations CLAV
Intervillage
Aire de covoiturage
Fermeture de classe
Inauguration Organica
Médailles 2014
Permis piéton
11.06
04.06
31.05
29.05
24.05
21.05
20.05
15.05
04.05
Ducasse
Salon de coiffure
Ducasse, brocante et médailles
élections : pb de distribution
Station Organica
Initiation au théâtre
Petites papilles...
Station Organica
Marché aux fleurs
(=> janvier-juin 2014)

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Source : Nord Littoral

Mardi 30.12.2014 | Vieille-Église |

Une partie des œuvres volées ont été restituées à Jean Roulland
roulland
Marie-Christine Remmery et Jean Roulland ont retrouvé lundi une partie de leurs œuvres (Photo archive).
     Plus d’une semaine s’est écoulée après le vol de sept de leurs pièces d’art (six en bronze et une en terre cuite). Pourtant Marie-Christine Remmery, la compagne de l’artiste Jean-Roulland, elle aussi sculpteur, trouve la force et la mémoire pour conter, une fois de plus, une trentaine de minutes qui lui ont paru « interminables ».
     Des coups sourds tout d’abord, qu’elle pensait être causés par les fortes rafales de vent, puis des bruits étranges et enfin, le passage d’une voiture, « une Audi de luxe » devant l’une des fenêtres de son habitation, au fond d’un grand jardin. Elle raconte le demi-tour de la berline dans son jardin, les phares projetées sur elle, les coups de klaxon... « Au départ, j’ai cru que je recevais la visite d’amis qui klaxonnaient pour montrer leur arrivée. Quand j’ai vu que c’était suspect, j’ai appelé ma sœur. »
     À la place de camarades, plusieurs hommes que Marie-Christine Remmery décrit comme « cagoulés. Je n’ai vu que leurs yeux. Ils n’ont pas parlé. » Elle, leur a adressé la parole. L’ordre de quitter les lieux. Le téléphone portable dans la poche, mais toujours en communication avec la sœur. « Quand je suis sortie sur le perron, ils étaient en face, en train de sortir l’une de mes œuvres d’un atelier, une terre cuite. L’un des hommes la portait. Ils étaient au moins trois à me regarder. Ils avaient l’air surpris de me voir. À mon avis, ils pensaient que les lieux n’étaient pas occupés au moment des faits. » L’artiste dit aussi que les hommes n’étaient pas armés. « Je suis ensuite rentrée, me suis blottie au fond d’une pièce aux côté de Jean et on a attendu. Après coup, je peux penser qu’ils auraient été capables de me poursuivre... Je n’y ai pas pensé sur le coup. »
     Entre temps, la sœur de l’artiste, paniquée par l’appel, a appelé les gendarmes pour les alerter du cambriolages. « Moi aussi, j’ai appelé les secours. Ils sont venus, mais les deux véhicules étaient partis ».
     Dans un ordre bien précis. La Berline tout d’abord, en klaxonnant avec insistance, puis le fourgon. Ce qui laisse dire à l’artiste, ce mardi, « que nous avons affaire à une bande organisée. Après coup, je pense que les coups de klaxon étaient sensés alerter le fourgon qu’ils avaient été repérés. » Cette hypothèse s’est confirmée lorsque, dans la nuit du lundi, le fameux fourgon est retrouvé en feu à Lomme. A l’intérieur, les œuvres de Jean-Roulland et de sa compagne, mais aussi des papiers appartenant au couple, deux de leurs candélabres portugais en bois du XIVe siècle et un meuble Napoléon III.
      Pour les besoins de l’enquête, le fourgon, « un petit camion frigorifique sûrement volé, tout comme la berline d’ailleurs », a été placé dans des locaux de la police. C’est là que Marie-Christine Remmery et Christian Evrard, le président de l’association Jean Roulland ont mesuré lundi l’étendu des dégâts. « Les œuvres sont majoritairement abîmées mais pas détruites. Le bronze n’a pas fondu. Il y a beaucoup de travail de patine à réaliser. » Les coûts de restauration sont élevés -plusieurs milliers d’euros-, ce qui inquiète les artistes : « Nous n’avons pas les moyens financiers d’assurer nos œuvres. Forcément, c’est un coup extrêmement dur. » Jean Roulland et Marie-Christine Remmery ont récupéré certaines des œuvres endommagées. Elles devraient être envoyées à Paris pour être rénovées. « Je suis persuadée que ces hommes n’ont pas pris ces œuvres au hasard. Pour atteindre certaines d’entre elles, ils ont du passer devant des dizaines d’autres. S’ils voulaient simplement récupérer du bronze, ils auraient pris les premières venues. Là, ils ont choisi méthodiquement les pièces. Ils devaient répondre à une commande. »

F.D.  
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Source : La Voix du Nord

Samedi 27.12.2014 | Vieille-Église |

Vol des œuvres de Jean Roulland à Vieille-Église : des suspects « très dangereux »
roulland
Les œuvres de Jean Roulland (ci-dessus « Cheval agonisant ») ont été retrouvées dans un fourgon en feu.       PH. PATRICK DELECROIX
     Deux individus présentés comme « très dangereux » ont été interpellés lundi au petit matin à Orchies, au terme d’une course-poursuite impressionnante. Ils sont suspectés d’avoir participé au vol des sculptures de l’artiste Jean Roulland, retrouvées dans un fourgon en feu mardi matin à Lomme.

Les faits
      Dimanche, vers minuit : l’épouse de l’artiste nordiste Jean Roulland surprend au moins quatre malfaiteurs cagoulés dans sa propriété de Vieille-Église, près de Calais. Avant de prendre la fuite à bord d’un fourgon et d’une berline de marque Audi, les individus ont le temps d’emporter sept œuvres du sculpteur. La même nuit, un vol avec violences est commis à Saint-Martin-Boulogne, peut-être par les mêmes individus: alertés, les gendarmes de la section de recherches de Boulogne-sur-Mer se lancent alors à leurs trousses.
La course-poursuite
     Une course-poursuite débute alors et mène les gendarmes jusqu’à Orchies. D’importants moyens sont déployés car les hommes poursuivis font l’objet de surveillances depuis des mois, dans le cadre d’une commission rogatoire: ils seraient «très dangereux, au vu de leur passé judiciaire très lourd», explique une source proche du dossier. Vers 5 h 15, les gendarmes assistés du GIGN interpellent deux des individus qui circulent à bord d’une voiture volée. Un hélicoptère de la gendarmerie a beau survoler la zone (en particulier la commune toute proche d’Hasnon), rien n’y fait : les deux autres suspects réussissent à prendre la fuite.

L’incendie du fourgon
     Le fourgon qui contenait les œuvres de Jean Roulland est retrouvé en feu à Lomme le lendemain matin (mardi). Les sculptures sont partiellement endommagées.

Deux hommes toujours recherchés
     Les deux individus interpellés à Orchies sont écroués. Ils sont originaires du Béthunois et de l’Audomarois et feraient partie d’un vaste réseau de vol en bande organisée. Les autres suspects sont toujours activement recherchés.

Des oeuvres récupérées lundi
     Il ne sait pas encore dans quel état Jean Roulland les retrouvera. Les sept sculptures risquent d’avoir été noircies par les flammes. Pire, elles ont peut-être partiellement fondu dans l’incendie du fourgon.

Un artiste nordiste à la renommée internationale
     Né à Croix en 1931, Jean Roulland est un peintre et un sculpteur d’envergure internationale, membre du groupe de Roubaix (Arthur Van Hecke, Eugène Leroy) et du groupe de Gravelines. C’est aussi un ancien élève de l’école des Beaux-Arts de Roubaix. Ses œuvres sont exposées en Belgique, au Japon, à Washington et dans des musées régionaux. À Lille, près de la cathédrale Notre-Dame de La Treille se dresse sa statue en bronze du Cardinal Liénart.
     Début 1970, il s’installe sur la Côte d’Opale, à Vieille-Église. Victime d’un accident vasculaire cérébral en 2007, Jean Roulland vit toujours dans ce petit village du Calaisis avec sa compagne, aussi sculptrice.
     Il a été lauréat du prix Rodin en 1972 et distingué par l’académie des Beaux-Arts en 2010. En 2013, « année Jean Roulland », plusieurs musées de la région lui ont rendu hommage à travers plusieurs expositions.

 PAR MARIE GOUDESEUNE (avec A.L. et P.R.)  
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Source : La Voix du Nord

Vendredi 22.12.2014 | Vieille-Église |

plusieurs œuvres dérobées après un cambriolage chez le sculpteur Jean Roulland
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On ignore si « L’Afghane » fait partie des œuvres volées.
     Plusieurs œuvres de l’artiste Jean Roulland, dont d’imposantes statues en bronze, ont été dérobées à son domicile dans la nuit de dimanche à lundi. Les malfaiteurs, qui semblaient très organisés, ont été mis en fuite par l’épouse du sculpteur. Personne n’a été blessé, mais le préjudice est très important.
      La propriété de l’artiste Jean Roulland n’est pas éclairée. De l’aveu du parquet de Saint-Omer, cette maison de maître est « mal protégée » : « Les malfaiteurs y sont rentrés sans difficultés », a noté ce lundi la substitute du procureur Anne-Laure Galloudec. On ignore combien ils étaient exactement. Au moins deux, certainement plus : des individus cagoulés qui ont pénétré dans ce vaste domaine de la rue du Pont-d’Oye à bord d’une Berline et d’un fourgon utilitaire, dimanche vers 23 h.
     Ils ont eu le temps de charger plusieurs œuvres d’art à bord de ces véhicules. « De grosses statues en bronze », selon la gendarmerie, ainsi que « différentes choses ». « Quelques objets de valeur », d’après Anne-Laure Galloudec. Les œuvres d’art ne manquent pas dans la propriété de Jean Roulland : l’une de ses plus célèbres statues, L’Afghane, réalisée en 2003, trône dans le jardin du sculpteur depuis plusieurs années. Mais ce n’est pas tout : d’autres sculptures, nombreuses, sont exposées dans l’habitation. Elles valent, pour certaines, plusieurs dizaines de milliers d’euros...
      On ignorait hier soir quelles œuvres avaient été dérobées. D’après la gendarmerie, « le préjudice est important ». Et il aurait pu l’être davantage encore si l’épouse du sculpteur n’avait pas surpris les cambrioleurs en pleine action : vers minuit, elle leur est littéralement « tombé dessus », dixit un enquêteur, ce qui a provoqué leur fuite immédiate.

L’épouse choquée, le maire « désemparé »
     Encore très choquée ce lundi soir, Marie-Christine Remmery - artiste elle aussi - n’a pas souhaité s’exprimer. Elle semblait soulagée toutefois que les malfaiteurs n’aient pas été violents envers elle et son mari. Le maire de Vieille-Église s’est dit quant à lui « désemparé » hier à l’annonce de ce cambriolage : « C’est la première fois que ça arrive, nous a confié Dominique Pourre. Ce n’est pas anodin de venir avec un fourgon : c’est probablement un réseau de cambrioleurs très organisé et spécialisé dans le vol d’œuvres d’art ».
     L’enquête est désormais entre les mains de la brigade de recherches de la compagnie de Saint-Omer. Dès ce lundi après-midi, la cellule d’investigation criminelle d’Arras l’assistait sur les lieux du cambriolage afin de relever d’éventuelles empreintes. Si les œuvres ne sont pas retrouvées, elles seront probablement revendues au marché noir. Ou, pire, fondues pour n’en garder que la matière : le bronze est en effet un trafic juteux. Son prix est actuellement estimé à un peu plus de 6 € le kilo.

                      Un artiste du nord à la renommée internationale
     Jean Roulland est un peintre et un sculpteur nordiste à la renommée internationale. Ses œuvres sont aussi bien exposées à Bruxelles qu’à Nagano au Japon, en passant par Washington et dans des musées de la région. Le sculpteur a été lauréat du prix Rodin en 1972 et distingué par l’académie des Beaux-Arts en 2010.
      Né en 1931 à Croix, il appartient au groupe de Roubaix (Arthur Van Hecke, Eugène Leroy…) et de Gravelines. C’est aussi un ancien élève de l’école des Beaux-Arts de Roubaix. Au début des années 70, il s’installe sur la Côte d’Opale, à Vieille-Église. Victime d’un accident vasculaire cérébral en 2007, Jean Roulland vit toujours dans ce petit village avec sa compagne Marie-Christine, aussi sculptrice.
     En 2013, « année Jean Roulland », des musées de la région lui ont rendu hommage à travers plusieurs expositions. Au musée des Beaux-Arts de Calais, deux cent cinquante de ses œuvres, dont une centaine de sculptures, des pastels, des dessins, ont été présentées au public. Soit plus d’un demi-siècle de carrière retracé.
     L’une de ses œuvres en bronze à la cire perdue les plus célèbres est L’Afghane. Elle est née dans l’esprit du sculpteur, passionné d’orientalisme, en 2002, lors d’un voyage en Égypte, où il a vu une femme en burqa, voilée de la tête aux pieds, le visage masqué d’où seuls les yeux perçaient. L’originale, dont la reproduction est limitée à huit tirages, se dresse dans le jardin de l’artiste à Vieille-Église. Une deuxième Afghane appartient à un collectionneur privé. La troisième a rejoint le musée des Beaux-Arts de Calais, grâce aux Amis des musées.

PAR MARIE GOUDESEUNE (avec M.J. et A.DEL.) 
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Source : Nord Littoral

Mardi 09.12.2014 | Vieille-Église |

Vieille-Eglise: deux journées pour le Téléthon
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Les footballeurs ont lavé les voitures.
     Le Téléthon s’est déroulé sur deux journées.

     Vendredi, une vente d’objets était organisée devant les écoles. Il s’agissait d’objets dérivés du Téléthon, vendus par les parents d’élèves. L’après-midi, devant la mairie, avait lieu une vente de pizzas.
     Samedi, un lavage de voitures était organisé par le club de football. Un concours de yam’s, une exposition-vente organisée par « Les doigts d’or » se sont déroulés. Un challenge parents-enfants a été mis en place afin de confectionner une fresque formant le mot « Téléthon ».
     A noter aussi des sorties cycliste et marche, une démonstration de gymnastique et de zumba, une danse par les enfants des activités périscolaires, avant le tirage au sort des grilles du Téléthon et un concours de cartes.

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Source : Nord Littoral

Mercredi 03.12.2014 | Vieille-Église |

Mobilisation pour le Téléthon
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Les bénévoles seront mobilisés durant trois jours (photo d'archives).
     Cette année, le Téléthon se déroulera les 5 et 6 décembre. Le vendredi, une vente d'objets sera organisée devant les écoles Johannes Vermeer et Claude Monet, de 8 heures 30 à 9 heures 30 et de 16 heures 15 à 17 heures. Il s'agira d'objets relatifs au Téléthon, vendus par l'association des parents d'élèves. De 16 heures 30 à 18 heures 30, devant la mairie, aura lieu une vente de pizzas précommandées.
     Samedi, à partir de 9 heures, un lavage de voitures sera organisé par le club de football et, dans la salle communale, auront lieu un concours de yam's et une exposition-vente organisée par « Les doigts d'or ». Un challenge parents-enfants sera organisé afin de confectionner une fresque formant le mot « Téléthon ».
  Des fleurs en papier seront également en vente. A 10 heures, aura lieu une sortie cycliste et pour les marcheurs (les enfants de moins de dix ans devront être accompagnés) et à 15 heures 30, aura lieu une démonstration de gymnastique et de zumba, par l'association « La gymnastique capelloise ». A 15 heures 30, les enfants qui fréquentent les activités périscolaires feront une démonstration de danse et une heure plus tard, ce sera le tirage au sort des grilles du Téléthon. A partir de 17 heures, sera organisé un concours de cartes, avec une petite restauration sur place : crêpes, sandwiches, croque-monsieur, boissons et soupe à l'oignon. Dimanche, une vente de petits pains et de croissants par lots de cinq sera organisée. On y trouvera également des crêpes.

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Source : La Voix du Nord

Jeudi 27.11.2014 | Vieille-Église |

Nouvelle aire de covoiturage sur l’A16 : « plus de places, moins dangereuse »
co-voiturage
La nouvelle aire est entrée en service lundi. Soixante-six places sont disponibles. PHOTO JEAN-PIERRE BRUNET
     La nouvelle zone de covoiturage, au bord de l’échangeur 50 de l’A16 (Vieille-Église), a été mise en service lundi. L’ancienne, côté Nouvelle-Église, s’était formée spontanément par les automobilistes. C’est pourquoi les élus locaux ont décidé la création de cette aire plus sécurisée.
    Avis d’usagers.
Il scrute les soixante-six nouveaux emplacements destinés aux voitures côté Nouvelle-Église. « Bon, là c’est dommage, je n’ai plus le permis donc je ne pourrai pas l’utiliser mais je trouve que c’est mieux que l’ancienne ! Il y a plus de places et c’est moins dangereux car avant j’attendais mon collègue au pied de la route départementale », remarque ce Calaisien de 26 ans.
  D’une semaine à l’autre, avec un collègue de Bouquehault, ils se retrouvaient en bas de l’échangeur vers 7 h, direction leur lieu de travail à Dunkerque : « On économisait chacun un plein d’essence. »
     L’ancienne aire se trouvait juste en face, côté Vieille-Église. Il s’agissait d’un terre-plein sauvage qui a fini par former une zone de covoiturage à mesure que les voitures s’y stationnaient. « C’est parti d’un élan spontané, confirme Didier Lenoir, directeur général des services à la communauté de communes de la région d’Audruicq (CCRA). Il fallait une nouvelle aire pour d’abord des raisons de sécurité routière, puis pour des nuisances que cela engendrait à Nouvelle-Église. » La place principale de la commune et le parking devant la salle polyvalente étaient utilisés par des « covoitureurs ». La CCRA et le conseil général ont donc signé un contrat territorial de développement durable pour créer cette nouvelle aire.

     Ses utilisateurs sont bien souvent des automobilistes qui sont du territoire de la région d’Audruicq et qui migrent quotidiennent pour des raisons professionnelles vers Calais ou Dunkerque. Emmanuel, Offekerquois de 31 ans, se réjouit de la nouvelle aire : « Avant j’utilisais la clandestine ! Maintenant, on n’a plus à chercher des places pour se garer, c’est plus sûr et bien aménagé. » Des luminaires ont été posés, bientôt ce sera un abri pour les deux-roues.
     Emmanuel effectue le trajet jusqu’à une entreprise de Loon-Plage avec son collègue de travail Frédéric, Calaisien de 32 ans. Ils se retrouvent à 7 h 40 en bas de l’échangeur. C’est quarante-minutes plus tôt pour Samuel, 39 ans, calaisien, et son frère et collègue, Jean-Bernard, habitant de Bois-en-Ardres. Tous deux travaillent sur le chantier du terminal méthanier de Dunkerque : « Au lieu de dépenser 200-250 € de gasoil, on en dépense 100-150 €. » Ils voient les gendarmes patrouiller à proxmité de l’aire, ce qui les rassure aussi. « C’est plus grand et en meilleur état », indiquent-ils. L’un d’eux, sur l’ancienne aire, avait eu le pare-chocs décroché parce qu’un véhicule avait tenté de se stationner dans des places étriquées.

L’aire en bref

     Au pied de l’échangeur 50, un tourne-à-gauche permet d’accéder à l’aire de covoiturage qui possède aussi des places handicapées. Elle a été financée par le conseil général (50 000 € HT) et la communauté de communes de la région d’Audruicq (140 000 €). La réfection des voies, financée à 100 % par le conseil général, a par ailleurs permis de créer des tourne-à-gauche et à droite. La CCRA veut se positionner comme un territoire rural et de développement durable. Les zones de covoiturage répondent à cet objectif.

Un autre projet d’aire

     La construction d’une aire de covoiturage, identique à celle de Nouvelle-Église, devrait démarrer le 15 janvier à Saint-Folquin. « Beaucoup de voitures stationnent sur la place du village ou devant la salle des fêtes. Nous sommes confrontés au même problème qu’a connu Nouvelle-Église », détaille le maire, Yves Engrand.
     L’aire de covoiturage sera bâtie au pied de l’échangeur 51, sortie Saint-Folquin, rue Léon-Coustre. « Les dessertes de transports collectifs, mis à part à Audruicq avec sa gare, sont faibles. En même temps, l’urbanisation se développe dans le territoire de la CCRA alors pour éviter une explosion des transports individuels, nous développons les zones de covoiturage », explique Didier Lenoir, directeur général des services à la CCRA. Le projet a un coût de 120 000 € (50 000 sont pris en charges par le conseil général, 35 000 par la CCRA et la commune).
     Cette aire aura une capacité d’accueil de 48 places. Comme à Nouvelle-Église, elle possédera un abri pour les deux-roues.

Un atout pour l’Écopôle

     Dominique Hays, directeur des Anges Gardins, structure qui gère l’Écopôle située en face de la nouvelle aire se réjouit : « Le réaménagement de la route met en évidence notre entrée. C’est une belle vitrine. Nous ajouterons une signalétique en concertation avec la CCRA. »
     L’Écopôle reboisera une partie de l’ancienne aire de covoiturage. « Ce sera un ourlet d’arbustes parce qu’il y a un fossé », précise-t-il. Une piste cyclable a été construite et devrait être prolongée le long de la départementale. La terre remuée pour la construction de l’aire de covoiturage est utilisée par l’Écopôle pour former des buttes qui seront végétalisées et donneront plus d’intimité au personnel.

PAR C. T. 
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Source : Nord Littoral

Mercredi 26.11.2014 | Vieille-Église |

Gainsbarre et Gainsbourg bien revisités
Gainsbourg
La prestation de « Gainsbourg revisited » a été un grand moment.
     Vendredi, à la salle communale de Vieille-Eglise, Serge Gainsbourg était à l’honneur. Le concert qui, à l’origine devait durer une heure, en a duré presque deux.
     Dominique Pourre, maire de la commune et président de la commission culturelle de la Communauté de communes de la région d’Audruicq (CCRA), a pris la parole pour présenter ce dix-septième spectacle de la saison culturelle. «Gainsbourg revisited » est un retour en musique sur les titres majeurs de l’œuvre de Serge Gainsbourg. Dès les premières notes de la première chanson « Le poinçonneur des Lilas », le chanteur du groupe, Jean-Philippe Ramette, a donné le ton juste de cette soirée. Eric Pâque à la guitare, Olivier Jacqueline à la basse et aux chœurs et Olivier Fourrier à la batterie, les quatre musiciens professionnels ont mis tout leur talent au service de ce vaste univers. Du reggae au rock en passant par la chanson jazz et les rythmes chaloupés des Antilles, toutes les couleurs musicales explorées par le maître ont été passées en revue au sein de « Gainsbourg Revisited ».
Serge Gainsbourg peintre
    Jean-Philippe Ramette a expliqué que Serge Gainsbourg voulait devenir peintre. Quasiment toutes ses œuvres picturales ont été détruites. C’est grâce à la musique qu’il est devenu une icône. Pour mettre en lumière cette facette de son talent, le groupe « Gainsbourg revisited » a proposé en collaboration avec Bertrand Civetta, artiste-peintre, une création mêlant musique et performance artistique. Sur scène, deux portraits de Serge Gainsbourg ont ainsi été créés au pastel sur toile noire. Le public a pu en faire acquisition à la fin du concert. La soirée a été vécue comme une véritable communion entre Serge Gainsbourg, les artistes sur scène et le public qui n’a pas hésité à chanter.

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Source : La Voix du Nord

Mardi 25.11.2014 | Nouvelle-Église |

Nouvelle-Église : un projet de zone d’activités en bordure d’A16
zone d'activité
C’est sur ce site que doit s’installer la zone d’activités. PHOTO JEAN-PIERRE BRUNET
     La communauté de communes de la région d’Audruicq (CCRA) envisage d’implanter derrière la nouvelle zone de covoiturage de Nouvelle-Église une ou des entreprises pour créer de l’emploi. Le projet est en marche : il devrait investir 37 hectares de terres agricoles.

La zone d’activités
     Elle sera située au niveau de la sortie Oye-Plage - Audruicq sur la commune de Nouvelle-Église.   Les terrains (37 hectares) ont été reconnus ZAC (zone d’activité concertée) en 2014. Ils appartiennent à la société d’aménagement foncier et d’établissement rural (SAFER). La semaine dernière, la CCRA a signé une convention de constitution de réserves en vue de leur acquisition.
Les raisons de sa création
     Elles sont énumérées par Didier Lenoir, directeur général des services à la CCRA : « La CCRA est partie du constat qu’à part Leroux, elle ne possède pas d’entreprises (hors activités de services), génératrices d’emploi. On se rend compte aussi que les habitants ont leur emploi à l’extérieur de la CCRA. Il y a une forte migration domicile-travail vers Calais ou Dunkerque ».

Quelles entreprises ?
     La zone pourrait être dévolue au secteur alimentaire. Le SCOT (schéma de cohérence territorial) lui interdit d’avoir une finalité commerciale pour ne pas entrer en concurrence avec le commerce local (le futur Leclerc à Oye-Plage par exemple). La CCRA sera soutenue par l’agence de développement économique Calais Promotion qui versera 20 000 € pour le financement d’une étude de positionnement.
     « La zone bénéficiera d’un tourne-à-gauche, d’une aire de covoiturage. Toutes les commissions de la communauté de communes ont été réunies. Ce projet est considéré comme une priorité de la mandature », précise Didier Lenoir.
     Autre réflexion en cours : faut-il installer une grosse entreprise ou plusieurs ? Les élus souhaitent de l’activité pérenne, des entreprises venant de l’extérieur du territoire et non une délocalisation au sein de la CCRA qui se dit aussi attaché au caractère du secteur. « On n’ acceptera pas n’importe quoi ». Les élus dresseront donc avant fin 2014 un cahier des charges reprenant leurs exigences, notamment environnementales.

Historique du projet
     En signant la convention avec la SAFER, la CCRA a repris les engagements formulés par la chambre de commerce et d’industrie (CCI) il y a quatre ans. Celle-ci avait souhaité soutenir financièrement le projet de zone d’activités à Nouvelle-Église mais s’est retirée au moment de la fusion des CCI. Elle paiera tout de même les frais engagés avec la SAFER. Le 6 janvier, les terrains sont reconnus par le schéma de cohérence territoriale (SCOT) comme zone d’activités concertée. Le projet passera bientôt en conseil communautaire pour être validé.

« J’ai vaguement entendu parler de Bonduelle »

Le point de vue des maires du secteur...
- Patrick Way, maire de Nouvelle-Église : « Je suis d’accord avec le projet tant qu’on ne met pas n’importe quoi. Nous devons être attentifs au choix des entreprises et des activités. Car en 1995, il y avait un projet d’implantation de décharge. Il y a eu une forte mobilisation contre ce projet, on s’en souvient encore ! Cette zone d’activités rapportera une taxe professionnelle à la CCRA et la taxe sur le bâti pour la commune. »
- Dominique Pourre, maire de Vieille-Église : « J’ai défendu ce projet avec Yves Beugnet (ex-président de la CCRA). Cette zone industrielle sera orientée vers l’agroalimentaire, pas sur la logistique qui existe déjà à Marck. Ce sera quelque chose de complémentaire avec le milieu agricole. On sera vigilant sur la sauvegarde de l’environnement. On ne prendra pas n’importe quoi d’autant qu’en face il y a la ferme Verva qui est spécialisée dans le maraîchage bio. Pour que ça ne perturbe pas la qualité de vie des résidents, ce n’est pas positionné près des habitations. Un agent intercommunal sera chargé de trouver les entreprises. J’ai vaguement entendu parler de Bonduelle, pourquoi pas ? Mais on examinera toutes les demandes. »
- Yves Engrand, maire de Saint Folquin : « Dans ma commune, la zone d’activités, située au pied de l’échangeur, a généré pour le moment 42 emplois et devrait atteindre les 80. J’attends de voir ce que donne celle de Nouvelle-Église. Tout dépend de l’état de l’économie qui n’est pas brillant. Par contre, je pense qu’il ne faut pas viabiliser les terrains avant de vendre sinon l’entreprise voit que la commune attend et est en pouvoir de négocier. »
- Olivier Majewicz, maire de Oye-Plage et représentant de la commission développement économique à la CCRA : « Son implantation en sortie d’autoroute est judicieuse et il existe le pôle d’excellence rural à l’appui (Écopôle). On peut imaginer des activités qui s’en inspirent. De plus, elle se trouve à mi-chemin entre le canton sud et le canton nord. Il faut assurer la pérennité des activités et ce que l’on constate c’est que la multiplicité des activités économiques l’assure mieux que la monoactivité. »
PAR CHLOÉ TISSERAND 

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Source : La Voix du Nord

Mercredi 05.11.2014 | Vieille-Église |

Vieille-Église : l’entretien du patrimoine communal au programme de la municipalité
maire
L'aménagement de la route de Bourbourg se termine. Le maire devant le nouveau lotissement.
     Comme elle l’a fait avec les bilans des maires avant les élections, « La Voix du Nord » propose une nouvelle série consacrée aux projets des maires. Quels engagements ? Quels grands chantiers ? Quelles priorités ? Réponses ici avec Dominique Pourre, maire de Vieille-Eglise.

     Réélu sans concurrence en mars dernier, Dominique Pourre a entamé un quatrième mandat à la tête de la commune.

- Un lotissement sort de terre. Un lotissement de vingt-quatre logements a vu le jour route de Bourbourg. « Nous avons profité de ce chantier pour réaménager l’entrée du village », explique Dominique Pourre. L’objectif est de réduire la taille de la chaussée pour diminuer la vitesse des automobilistes sur cet axe très fréquenté reliant Nouvelle-Église à Saint-Omer-Capelle. Un chemin piétonnier a été créé. Il permet de relier le lotissement à l’école, un plateau sécurisant permet également de réduire la vitesse et permet aux riverains du lotissement de traverser la route en toute sécurité. Les réseaux électriques et « télécom » seront enfouis et un abribus avec les financements du conseil général va être installé.
- Aménagement du presbytère en logements. Une association d’insertion s’active actuellement pour aménager quatre logements locatifs dans le presbytère. « Les premiers locataires devraient arriver au mois de janvier, précise le maire. Faire appel à une association d’insertion coûte aussi cher que de faire appel à une entreprise traditionnelle. Mais nous souhaitions aider des personnes à se remettre au travail et cela porte ses fruits car certains ont trouvé des stages dans différents domaines, pas forcément dans le bâtiment. »

- « Défenseur de l’intercommunalité ». Vieille-Église appartient à la communauté de communes de la Région d’Audruicq (CCRA). « Je suis un fervent défenseur de l’intercommunalité. Je suis convaincu que pour progresser, nous devons faire les choses ensemble. La municipalité est associée aux projets intercommunaux et notamment à celui du pôle d’excellence rurale (Ferme Verva dit l’Ecopôle) qui sont menés sur la commune », souligne l’élu.

- Pas d’augmentation de la fiscalité. « Nous devons partager les efforts et les habitants doivent participer à l’aménagement de leur commune mais nous nous efforçons, dans la limite du possible, à ne pas augmenter les taxes communales. »

Travaux de la sécherie
     L’un des grands projets du mandat est la réhabilitation de la sécherie Delplace. « La première tranche des travaux devrait s’achever à la fin de l’année, annonce le premier magistrat. Nous allons voir, avec la Fondation du patrimoine, si nous pouvons poursuivre les autres tranches comprenant la réhabilitation du hangar à cossette et le logement. »
     La commune s’est lancé dans un programme de réhabilitation de son patrimoine local. Elle a fait appel à la Fondation du patrimoine pour collecter des fonds lui permettant de mener à termes ce projet de rénovation de la sécherie.

Diagnostic de l’église
     Toujours au niveau du patrimoine, la commune a également effectué un diagnostic de l’église permettant d’établir les travaux nécessaire à la réhabilitation de cet autre symbole du patrimoine communal.

Trois nouvelles salles de classe créées
     L’école Vermeer accueille cent quarante élèves de primaire. La municipalité a prévu la construction de trois classes en élémentaire. Car pour le moment trois classes sur six sont situés dans de vieux préfabriqués. Alors la municipalité a souhaité que les élèves soient transférés dans des locaux neufs.
     Le permis de construire vient d’être déposé et la procédure d’appel d’offres sera prochainement lancée. Les nouvelles salles de classe seront construites au fond de la cour. Les anciens préfabriqués ne seront pas démontés et permettront d’accueillir les enfants lors des temps d’activités périscolaires (TAP).

Le point sur les TAP
     Anne Dehouck et Brigitte Bridenne, les deux adjointes coordonnent les TAP. Les enfants sont encadrés par des membres du personnel communal titulaire du BAFA. Sur les 140 élèves, 110 participent régulièrement aux TAP.
     « Sur la première période, nous avons eu de la chance avec la météo et la plupart des activités se sont déroulées à l’extérieur. A la veille des vacances de la Toussaint, nous avons distribué un questionnaire d’évaluation aux enfants et aux parents est 95% des personnes sont satisfaites », indiquent-elles.
 B. B. (CLP)   

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Source : La Voix du Nord

Samedi 18.10.2014 | Vieille-Église |

Calaisis : la Fête de la chicorée se poursuit ce dimanche
chicorée
Au pénitencier de Chico-Chico, les Daltons sont également présents.
      Depuis vendredi et jusqu’à ce dimanche soir, cow-boys, shérifs et indiens ont investi la commune de Vieille-Église pour le plus grand bonheur des visiteurs. Un rassemblement festif autour de la vedette locale : la fameuse racine de chicorée. Un spectacle est donné en son honneur, le temps d’une promenade-spectacle au Far-West.

     À la lueur de sa lanterne, Michèle, notre guide, nous fait voyager à la vitesse grand V. Nous quittons la salle des fêtes de Vieille-Église. Une boule de paille qui roule dans la salle de la mairie, transformée en scène de spectacle, quelques notes de musique que l’on retrouve dans les westerns, le décor est planté, Nous voilà au cœur du Far-West.
     Au fil des scènes, on suit les aventures d’Albert, un agriculteur de Vieille-Église qui part à la conquête de l’Ouest avec sa célèbre racine de chicorée.
     Depuis plusieurs semaines, la centaine de comédiens bénévoles répètent sous la direction de Maxime Séchaud, du théâtre de l’Ordinaire. « Chaque année, c’est un plaisir de participer à la Fête de la chicorée même si c’est extrêmement fatiguant car en plus des répétitions, nous jouons la même scène une trentaine de fois sur le week-end. Chaque année, de nouvelles têtes nous rejoignent ce qui permet de créer un lien entre les personnes. Certains habitaient la même commune et n’avaient jamais eu l’occasion de se rencontrer. Depuis qu’ils ont joué ensemble, ils sont devenus amis », témoigne l’un des comédiens.
     En quelques années, la promenade-spectacle s’est professionnalisée et arrive toujours à surprendre les visiteurs à l’image de Françoise, une habitante de Saint-Folquin. « Dans certaines scènes, on est en contact avec les comédiens, c’est vraiment sympa. On se sent acteur de la promenade. J’ai également particulièrement apprécié les scènes musicales, on se sent embarqué dans un univers magique. »
     Dès 13 h, cet après-midi, Lucky Kuke, Chicority Jane ou encore les Daltons vous attendent à Vieille-Église. Mais attention aux bandits et autres croques-morts qui seront sur le chemin.
B. B. (CLP)  
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Source : Nord Littoral

Vendredi 17.10.2014 | Vieille-Église |

Un repas convivial
Ainés
Les doyens du repas ont posé avec le maire et deux de ses adjointes.

     Dimanche dernier, à la salle communale, un repas a réuni les délégués du Centre communal d’action sociale (CCAS), les présidents d’association, le personnel communal et les seniors de la commune pour un repas particulièrement convivial.
     Lors de cette réunion que l’on pourrait qualifier de familiale, Dominique Pourre a tenu à souligner l’importance des symboles de la République : le coq, la Marseillaise ou encore le drapeau. Le repas était placé sous le signe de la Libération de 1944, notamment celle de la région d’Audruicq.
     Les trois doyens de ce repas étaient Agnès Méteyer-Delaporte, Roger Duwicquet et Léon Way. Ils
ont bien voulu poser pour la photo en compagnie de Dominique Pourre, Brigitte Bridenne et Anne Dehouck, qui ont œuvré pour la préparation de ce repas. Ce dernier,
concocté par Frédéric Doyer, le traiteur de la commune, était
servi par les membres du conseil municipal et leurs épouses ou époux.

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Source : Nord Littoral

Vendredi 17.10.2014 | Calais |

Vieille-Église : visite de la dernière sécherie du groupe Leroux dans le département
sécherie
Une opératrice retire les derniers déchets des racines à chicorée.
     Alors qu’a débuté la Fête de la chicorée ce vendredi soir, c’est l’occasion de redécouvrir la dernière sécherie du groupe Leroux dans le département. L’usine qui continue à être pourvoyeur d’emplois pour les habitants des environs, transforme la racine de chicorée en cossettes.

     Beaucoup de sécheries de paysans ont disparu avec la création de l’usine Leroux en 1968. Située aux abords de la départementale, rue du Fort-Bâtard, la sécherie à chicorée embauche chaque année pendant trois mois des saisonniers, souvent issus des environs. Ils sont cinquante-cinq de septembre à décembre à tourner en cinq équipes 7 j/7 j et 24 h/24 h. Sinon, six permanents restent toute l’année à l’usine pour préparer la prochaine saison.
     Pierre André, le directeur, effectue un tour de l’usine pour présenter les lieux. Dans la salle de tare, les opérateurs échantillonnent la racine à chicorée pour définir un pourcentage de valorisation de la matière sèche ou cossette (produit final) et fixer un prix d’achat à l’agriculteur (en moyenne 72 € la tonne).
      Les cultures proviennent à 65 % des parcelles agricoles entre Marquise, Saint-Omer et Wormouth, 20 % provient du Crotoy. L’usine récolte un peu moins de 70 000 tonnes de racines par saison.

           La chicorée aux Etats-Unis
      Les racines à chicorée sont envoyées dans le corps principal de l’usine pour l’alimenter. Il faut 1 000 tonnes par jour pour qu’elle puisse fonctionner. Lavées et chauffées dans les six fours de l’usine à 80ºC, elles perdent 70 % de leur eau et sont ensuite refroidies à 25ºC.
      Elles reposent dans un hangar qui a une capacité de stockage de 15 000 tonnes.

     Les cossettes sont envoyées chez le torréfacteur Leroux d’Orchies qui sort différents produits. La chicorée est un marché de niche et les produits seront vendus aux industriels français mais aussi aux États-Unis. Au Texas, notamment où le café français est proposé avec un ajout de chicorée.
 PAR CHLOÉ TISSERAND 
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Source : La Voix du Nord

Dimanche 12.10.2014 | Vieille-Église |

Olivier d’Hulst, de Vieille-Église, expose dans une galerie du Vieux-Lille
Olivier D'Hulst
Olivier d’Hulst puise son inspiration « de partout, dans l’actualité, des personnes ».
     Peintre et sculpteur, Olivier d’Hulst est un artiste reconnu. Jusqu’à ce samedi, ses œuvres sont exposées aux côtés de celles d’un autre artiste nordiste, Sébastien Roche, à la Melting Art Gallery de Lille.
     « Je connais Cécile, la responsable de la galerie, depuis son ouverture, il y a quelques années. Elle avait envie de mettre sur pied une exposition avec mes œuvres et celles de Sébastien Roche, car nous avons la même manière de voir la vie », explique l’artiste viétiglisois. Il poursuit : « Je puise mon inspiration de partout, dans l’actualité, des personnes ou encore des conversations. Les personnages que je peins ou que je sculpte sont des témoins de notre époque. Ils sont mon interprétation du monde actuel. L’art ne doit pas être simplement un objet décoratif. Il s’agit plutôt d’un langage permettant de transmettre une émotion. »
    Exposition « Face et Face », avec les œuvres d’Olivier d’Hulst et de Sébastien Roche à la Melting Art Gallery, 34 rue de la Halle à Lille. Tél. au 06 14 09 96 14. Site Internet: www.meltingartgallery.com. Gallerie ouverte les jeudis et vendredis, de 14 h à 19 h, et les samedis de 14 h 30 à 18 h 30.
B. B. (CLP)  
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Source : La Voix du Nord

Mardi 07.10.2014 | Vieille-Église |

la Fête de la chicorée fait son grand retour du 17 au 19 octobre
chicorée
La région d’Audruicq est la première région française pour la production de chicorée.

     Quel chemin parcouru par l’association Des Racines et des Hommes qui, depuis 2001, a remis au goût du jour cette racine qui fait la fierté des habitants de la région d’Audruicq !  Depuis, la Fête de la chicorée s’est particulièrement enracinée dans le territoire, et revient cette année du 17 au 19 octobre.
     Chacun dans son domaine, plus d’une centaine de bénévoles issus des quatre coins de l’intercommunalité se mobilisent pour préparer ce rendez-vous de l’automne particulièrement fédérateur. « Tout commencera à Vieille-Eglise dès le vendredi soir par une promenade-spectacle qui emmènera les visiteurs au pays des cow-boys, des indiens et des shérifs », explique Michèle Hermant, présidente de l’association Des Racines et des Hommes.
     Depuis plusieurs semaines, les comédiens répètent sous la houlette de Maxime Séchaud, le metteur en scène qui dirige la troupe, composée de jeunes et de moins jeunes jouant la même scène près d’une trentaine de fois sur les deux jours (vendredi et samedi). « Cette année, je joue le rôle de Chicoplan, le Rantanplan local », indique Rémy, 12 ans, qui participe depuis quatre ans à l’événement. Il donne la réplique à Jean-Pierre et André, deux « papys » ansériens qui se muent pendant le week-end en comédiens ou en gardiens du patrimoine. Gardiens du patrimoine car, en effet, la commune de Vieille-Église vient de racheter une ancienne sécherie à chicorée. « La restauration a été réalisée par des entreprises spécialisées et l’animation a été confiée à l’association Des Racines et des Hommes et ses bénévoles », indique Dominique Pourre, maire de la commune, qui troquera son écharpe tricolore pour celui de guide de la sécherie. En effet, il sera possible de visiter, le dimanche 19 (de 14 h à 18 h) le chantier de restauration et ainsi constater l’état d’avancement des travaux de réhabilitation. « Une souscription a été lancée. Elle permettra de financer les deux dernières tranches de travaux », complète le premier magistrat. Côté patrimoine toujours, un circuit-découverte en car (le samedi) permettra de tout savoir sur la chicorée grâce aux témoignages d’anciens sécheurs. Par ailleurs, la salle de Nouvelle-Église, accueillera une exposition sur la chicorée, d’anciens outils collectionnés par Yves Vergoten et des machines agricoles anciennes et actuelles.

 Renseignements et inscriptions par téléphone au 03 21 00 83 83 et sur www.tourismeaudruicq-oyeplage.fr
Au programme

Vendredi 17 octobre
Promenade-spectacle « La Ruée vers la chicorée », dès 19 h, départ toutes les quinze minutes de la salle des fêtes de Vieille-Église. Rés. 03 21 00 83 83.

Samedi 18 octobre
- Circuit guidé en car « À la découverte du pays de la chicorée », départ à 14 h de la salle des fêtes de Nouvelle-Église. Sur réservations au 03 21 00 83 83.
- Repas-spectacle Cancan Mania à partir de 19 h 30 à la salle des fêtes de Saint-Folquin. Réservations uniquement au 03 21 00 83 83. Tarif adulte : 25 €, tarif enfants (jusqu’à 12 ans) : 12 €.

Dimanche 19 octobre
- Saint-Omer-Capelle
Cérémonie d’intronisation dans la Confrérie de la cossette de chicorée à 10 h 30.

- Vieille-Église
« La ruée vers la chicorée », dès 13 h. Rendez-vous à la salle des fêtes. Réservations au 03 21 00 83 83. Animation de rue dans le centre du village dès 13 h. Atelier de peinture pour les enfants animé par l’association Elsa (de 14 h 30 à 17 h 30 à la salle de la Garderie). Visite de la sècherie : rendez-vous sur place, rue Coupevent, de 14 h à 18 h.

- Saint-Omer-Capelle
Salon gastronomique « La chicorée, ça se cuisine », de 10 h 30 à 18 h à la salle polyvalente. Présence de nombreux produits Saveurs chicorée, dégustations, démonstrations, ventes et ateliers cuisine. Restauration possible le midi au 03 21 00 83 83.

- Nouvelle-Église
Exposition « La Chicorée d’hier et d’aujourd’hui », de 10 h 30 à 18 h, à la salle des fêtes. Visites guidées, expositions de vieux outils, reconstitution de l’intérieur d’une sécherie. Jeux en bois sur la chicorée à profiter en famille, présentation d’engins agricoles.


chicorée
(PHOTO JOHAN BEN AZZOUZ LA VOIX DU NORD)
L’art de cuisiner une racine fameuse
      Lorsqu’on évoque la chicorée, on a une petite pensée pour nos grands-mères qui en mettaient dans le café mais maintenant de nombreux producteurs ont créé de nombreux produits (pâtisseries, chocolats, fromage...) à base de chicorée. C’est à Saint-Omer-Capelle, qu’on découvrira toutes les saveurs de la chicorée grâce au salon gourmand intitulé « La chicorée, ça se cuisine ». Outre les différentes saveurs des produits à la chicorée, il sera possible de découvrir de délicieuses recettes, à base de chicorée évidemment. « Nous allons proposer des démonstrations de cuisine avec des recettes salées et sucrées à la chicorée faciles à réaliser », indique Agnès Lutun, de l’entreprise Chicorée du nord, dernière société artisanale de torréfaction de chicorée, basée à Oye-Plage. Des cours de cuisine seront également proposés avec Carine Macrez, pâtissier-traîteur, basée à Offekerque, et Didier Routier de la Sole meunière, à Calais. Ce dernier a la particularité de cuisiner la chicorée tête d’anguille. « Il s’agit d’une ancienne variété de chicorée très difficile à arracher », témoigne Sophie Flahaut, maraîchère à Recques-sur-Hem. Pour ceux qui ne souhaitent pas passer derrière les fourneaux, il sera possible de déguster cette fameuse racine lors du repas gastronomique du samedi soir à Saint-Folquin, qui se déroulera dans une ambiance café-théâtre.
B. B. (CLP)  
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Source : Nord Littoral

Mercredi 24.09.2014 | Vieille-Église |

Journée du sport à l'école
sport
Tous les enfants de l'école ont fait du sport.
     Dernièrement, lors de la journée nationale du sport scolaire, les enseignants et les élèves de l'école primaire Johannes Vermeer ont fait honneur à cette manifestation en pratiquant plusieurs disciplines sportives. Cent trente-deux élèves étaient présents. Audrey Poly et ses élèves ont présenté du body combat, Sabrina Louvet a fait du football avec les siens, Claire Ringot était branchée sur le handball, Florence Lefebvre-Harlé a présenté différentes disciplines d'athlétisme. Pour Nathalie Acthergal et ses élèves, c'était la zumba, et Orlane Milleville a proposé des jeux de ballon.

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Source : Nord Littoral

Mercredi 24.09.2014 | Vieille-Église |

Le rôle des Belges et de leur roi pendant la Grande Guerre
K. Papin
Le conférencier, Kristof Papin.
     Le but était de mieux faire connaître l'histoire de la région Nord-Pas-de-Calais et plus particulièrement du canton d'Audruicq entre 1914 et 1918. Au programme, le samedi 20 en fin de matinée à Vieille-Eglise : une conférence de Kristof Papin, historien d'origine flamande, qui s'est attaché à expliquer le rôle des Belges pendant la Grande Guerre en insistant particulièrement sur leur présence dans notre région.

  RÔLE AMBIGU D'ALBERT Ier
     Il a d'abord rappelé un fait géopolitique trop souvent oublié : à la veille de l'éclatement de la guerre, les Belges entretiennent de bien meilleures relations avec les Allemands qu'avec les Français, lesquels n'avaient cessé, dans le passé, de mener des combats sur tout ou partie de leur territoire. Kristof Papin rappelle également que le roi Albert Ier, monté sur le trône en 1909 et issu de la dynastie des Saxe-Cobourg-Gotha, a des origines allemandes, ce qui éclaire bien des choses.
     En effet, la réaffirmation du principe de neutralité de la Belgique à la veille de la Grande Guerre proviendrait largement, selon l'historien, du refus d'Albert Ier de faire alliance avec les Français et les Anglais malgré les menaces planant sur sa petite nation. Le plan Schlieffen, prévoyant le passage des troupes allemandes par la Belgique afin d'attaquer la France, était déjà connu dans ses grandes lignes par l'armée belge dès avant 1914.
     Une fois la Belgique envahie par les Allemands, Albert Ier est proclamé chef suprême de cette armée. Mais le souverain entretient de très mauvaises relations avec les Français et les Anglais, pourtant devenus les alliés objectifs de son peuple. Il renâcle à pactiser clairement avec eux, ce qui explique en partie la lenteur fatale avec laquelle l'aide militaire franco-britannique a été acheminée outre-Quiévrain.
      Pendant tout le mois d'août 1914 et le début du mois de septembre 1914, les Belges, qui se massent d'abord du côté de Liège, tentent de repousser l'avancée allemande, au prix d'énormes sacrifices. Des milliers de vies sont perdues, des villes entières comme Namur, Halen, Aarschot ou Louvain, sont dévastées. En fusillant de nombreux civils, les Allemands cherchent à répandre la terreur dans le pays afin d'obtenir plus rapidement une reddition.
     Reste que la résistance des Belges permet à la France de s'organiser, d'autant que les Allemands commettent une importante erreur stratégique en allant pourchasser l'armée d'Albert Ier qui remonte vers Anvers, alors que la route vers le sud était quasiment libre pour eux : s'ils l'avaient suivie, ils auraient pu déferler sur une France pas encore tout à fait prête à les combattre. Consolation pour eux : ils mettent la main sur le port d'Anvers.
     Six semaines après la déclaration de guerre, les Allemands parviennent jusqu'à la frontière française. Ils occupent 95% de la Belgique et une partie du Nord pendant toute la durée du conflit. Mais grâce à l'inondation du Westhoek, leur avancée est stoppée, le front se stabilisant. Reste qu'aux yeux du roi Albert Ier, dès octobre 1914, ce sont les Allemands qui ont gagné la guerre.
     Le souverain qui installe son quartier général à la Panne et aime à poser devant les photographes avec Foch, aurait joué la carte allemande jusqu'à la fin du conflit selon Kristof Papin : oser faire face aux Allemands, c'était courir le risque de provoquer des pertes humaines et matérielles inutiles, et mettre en jeu son pouvoir royal une fois la victoire allemande établie. On est donc loin de l'image fréquemment véhiculée du "roi-chevalier" !

  LA QUESTION DES RÉFUGIÉS
     En ce qui concerne les dizaines de milliers de réfugiés belges qui sont venus s'installer en France et particulièrement dans notre région, le conférencier, chiffres à l'appui, affirme que si les Français se sont plaints de ce que les nouveaux venus leur prenaient leur travail, ils n'avaient pas tout à fait tort : le taux de mobilisation des hommes en âge de combattre a en effet été bien moindre en Belgique qu'en France, d'où le fait que beaucoup de Français aient dû abandonner leur place à l'usine ou aux champs, place que des Belges étaient tout prêts à occuper.
     Là ne fut pas le seul point de tension entre Belges et Français. Dans une République laïque depuis 1905, l'activisme religieux des Wallons et des Flamands n'a pas toujours été bien perçu. Mais, finalement, ces difficultés sont passées au second plan face aux problèmes engendrés par la guerre, et le travail fourni par les Belges a été le bienvenu pour l'économie du pays, exsangue de sa main d'oeuvre. Un certain nombre de familles sont demeurées en France pour y faire souche après 1918, dans le Nord mais aussi en Normandie.
     Kristof Papin a souligné par ailleurs que de très nombreux hôpitaux militaires ont été installés dans notre région afin d'accueillir les soldats belges blessés au front. A Calais et dans le Calaisis, plusieurs bases logistiques ont également servi au ravitaillement et à l'équipement de l'armée belge.

MAGALI DOMAIN
Prochain rendez-vous :
Les prochains rendez-vous sur le thème du centenaire de la Grande Guerre sont
nombreux : du 8 au 11 novembre, la « Guinguette à histoire », de 10 heures à 18
heures et le lundi de 14 heures à 18 heures. Il s’agira d’une exposition de photos
visible au 170, rue Georges Mauffait à Audruicq. Une autre exposition sur les objets
de la guerre 1914-1918 sera proposée par Yves Vergoten et Gilles Schonnaert
le 11 novembre à la salle communale de Vieille-Eglise, de 12 heures à 18 heures.
Enfin, une conférence de Jean-Paul Empisse aura lieu à la maison des associations
d’Audruicq à 18 heures.

Un déplacement sur sites
La CCRA a organisé pour les journées du patrimoine un circuit en bus sur les
traces des gigantesques camps de munitions mis sur pied à Audruicq et Zenneghem
pendant la Grande Guerre au service de l’armée britannique. Un arrêt au
cimetière chinois de Ruminghem a permis de sensibiliser les amateurs d’histoire
à la présence de cette main d’oeuvre étrangère dans la région entre 1917 et 1919.

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Source : La Voix du Nord

Lundi 18.08.2014 | Vieille-Église |

Dans les coulisses de l’installation de parafoudres à Vieille-Église, aux côtés des équipes ErDF
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Les agents d’ErDF remplacent les parafoudres. PHOTO JEAN-PIERRE BRUNET
     Ce lundi, la visite du chantier ErDF constituait bien sûr une opération de communication de l’entreprise mais c’était l’occasion d’assister au travail de l’équipe de travaux sous tension (TST).

     Les agents interviennent sur des lignes de 400 volts pour effectuer les réparations. Une spécialité qu’ils appliquent deux à trois fois par jour dans le département, dont 50 % sur le secteur de la Côte d’Opale. L’idée est d’intervenir sur une ligne en privant de courant un minimum d’habitants. La ligne sur laquelle s’effectuent les travaux concerne 120 clients mais ce sont quatre maisons qui ont été privées d’électricité pendant quatre heures. Il y a six mois, l’hélicoptère d’ErDF, qui sillonne tout le département, a repéré des failles sur le réseau électrique, dues à l’usure, la tempête… L’opération de ce lundi matin consistait à remplacer ces anomalies. « Nous allons mener un remplacement de trois parafoudres sur une ligne hors tension (20 000 volts) », explique Vincent Lagache, chef de base des travaux sous tension.
     L’opération est chapeautée par Pascal Ethore, animateur TST depuis une vingtaine d’années. Avant l’opération, il a préparé un bon avec la typologie des travaux (environnement, emplacement de l’engin, autorisation du propriétaire s’il s’agit d’une parcelle privée) et une chronologie de l’opération avec les agents affectés. L’opération lundi se déroulait dans un champ. « Il doit avant toute opération contacter l’agence de conduite pour avoir le droit d’intervenir. Ensuite, il rassemble l’équipe pour les briefer », énumère Vincent Lagache. Les quatre agents ont utilisé des véhicules tout-terrain pour se frayer un chemin jusqu’au poteau électrique. Et c’est muni d’une perche et dans une nacelle à bras métallique que l’agent procède à une mise à la terre. Une double sécurité permettant de s’assurer qu’aucun courant ne passe sur la ligne avant le remplacement des parafoudres.

     Dominique Pourre, le maire de Vieille-Église, regarde en l’air : « C’est une opération de communication intéressante. La population n’a pas forcément conscience de ces interventions. J’ai été étonné de recevoir cette invitation. Elle me permet de découvrir ce type de métier. Je pourrai répondre aux questions des habitants lorsqu’ils me demanderont ce qui se passe. »

                Qui est l’équipe TST ?
     Les agents de travaux sous-tension sont une trentaine et sont basés à Bruay-la-Buissière. Ils suivent un cursus de formation de cinq semaines près de Mulhouse où ils étudient la technicité, le matériel, les divers chantiers, etc. Tous les ans, il existe des périodes dites de « recyclage » de deux à trois jours. ErDF a investi 74 millions d’euros dont 22 millions pour les lignes de 20 000 volts. La région compte 22 200 km de ligne de ce type. Une surveillance aérienne du réseau est effectuée tous les trois ans en hélicoptère, soit 200 km par jour.
C. T.  
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Source : La Voix du Nord

Jeudi 14.08.2014 | Vieille-Église |

Fête de la chicorée à Vieille-Église : des hommes avec des robes, des flingues et le Grand Ouest
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La Fête de la chicorée aura lieu en octobre. Mais avant cela, les organisateurs, qui ne manquent pas d’humour, ont dévoilé l’affiche de la manifestation.
     La Fête de la chicorée est l’un des événements les plus attendus de l’année en région d’Audruicq et elle se prépare dès l’été...

     L’association Des racines et des hommes, et la communauté de communes de la région d’Audruicq viennent de dévoiler le thème et l’affiche de cette nouvelle édition qui aura lieu du 17 au 19 octobre prochain. Pour cette quatorzième édition, direction le Far West pour une ruée vers l’or local : la chicorée.
B. B. (CLP)  
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Source : Nord Littoral

Dimanche 27.07.2014 | Calais |

L’ex-sécherie de chicorée de Vieille-Église futur lieu de mémoire du Calaisis ?
sécherie
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    La sécherie de René Delplace, rue du Coupe-vent, est en travaux de réhabilitation depuis mars. Rachetée par la municipalité, elle est au centre d’une politique de valorisation du patrimoine local. À travers cette sécherie, créée en 1923 et qui a cessé de fonctionner en 1967, le territoire veut conter au grand public l’histoire de la chicorée.

     Vieille-Église est connue pour sa Fête de la chicorée organisée en octobre. C’est une terre de sécheries, elle en a compté jusqu’à une dizaine. « Tous les travailleurs, venus de Belgique, vendaient la chicorée à Leroux qui possède un site sur la commune. Jusqu’à ce que l’entreprise arrête de travailler avec eux. Les sécheries ont alors fermé une à une », raconte le maire Dominique Pourre. La Fête de la chicorée a été créée pour perpétuer cette mémoire locale. La commune veut désormais aller plus loin : en 2012, elle a acheté 100 000 € à un ancien patron, René Delplace, sa sécherie afin de la réhabiliter sur le modèle de la période 1923-1954.

     Elle souhaite faire de ce bâtiment en briques jaunes et rouges un lieu d’exposition, de dégustation, de visites, avec une petite salle de spectacle et son magasin à cossettes remis sur pied. Et pourquoi pas tenter de la faire refonctionner ? « La machinerie est difficile à retrouver », explique Yves Vergoten. Ce collectionneur se servira de tous ses outils, liés à la chicorée, pour la décoration intérieure de la sécherie. Il a notamment déniché un ascenseur à godets qui servait à monter les cossettes à chicorée d’un étage à l’autre. L’architecte, Jean-Bernard Stopin, espère pouvoir le réinstaller.
     Pour mener à bien les travaux, il s’est documenté, s’apercevant que la sécherie constitue un modèle fabriqué par les Belges. « Elle a eu plusieurs vies. Avant, elle avait quatre cheminées et des girouettes qu’elle a perdues depuis. En 1921, elle a pris feu, ce qui était courant », explique-t-il. Les quatre cheminées sont désormais de retour et ont fait l’objet d’une première phase de travaux. Les ouvriers ont aussi « purgé les parements extérieurs. La charpente et les pièces malades ont été remplacées, les volets métalliques ont été repris et changés, la couverture aussi », énumère l’architecte.
     Des briques sur lesquelles les sécheurs ont gravé des mots ont été préservées et seront nettoyées à l’eau claire. Actuellement, les ouvriers se chargent de la partie machinerie (là où était lavée et coupée la chicorée). La première phase devrait se terminer en septembre. La deuxième consistera à réaménager le hangar à cossettes, récupérer le logement des saisonniers belges, aujourd’hui habité, pour le restituer à l’identique de l’heure de gloire de la chicorée.

Repères
Le financement
      Le projet de réhabilitation de la sécherie René Delplace coûte environ 425 000 €. La communauté de communes (CCRA) participe à hauteur de 10 000 € ; le Département, 40 000 € ; la commune, 189 000 €.
« Un circuit du pays de la chicorée »
      Le comité de promotion économique et touristique intercommunal (CPETI), dont la mission est la valorisation du patrimoine local, placera la sécherie René Delplace au cœur de ses actions. Ce qu’explique l’animatrice, Cathy Denudt : « Nous allons commercialiser des produits de groupes sur le circuit du pays de la chicorée où la sécherie sera centrale. Nous ferons venir des groupes de partout (clubs du 3e âge ou de randonneurs…) pour leur faire découvrir la culture de la chicorée (exposition, diffusion de films), leur proposer de la dégustation, en essayant d’impliquer les artisans et les restaurateurs. On commencera par des visites ponctuelles. La sécherie sera un prétexte pour organiser des rencontres et des échanges. »
      Un travail d’implantation de panneaux d’interprétation est en cours pour les églises du patrimoine et « nous souhaitons l’appliquer à la sécherie en dotant ces panneaux d’un flash code qui renvoie vers un maximum d’informations ».

« Nos sécheries sont nos cathédrales »
      C’est l’association Des racines et des hommes (une centaine de bénévoles), inscrite dans le comité de pays de la communauté de communes de la région d’Audruicq, qui est à l’initiative de la Fête de la chicorée.
      Sa présidente, Michèle Hermant, précise qu’une dizaine de bénévoles seront formés à l’animation de visites guidées de la sécherie, avec le Théâtre de l’ordinaire et un historien, qui seront proposées un dimanche par mois. « Nous travaillons avec un plasticien pour créer des jeux en bois expliquant son fonctionnement », ajoute-t-elle. L’association rappelle qu’une économie locale s’est formée autour de la chicorée depuis sa promotion : « Les restaurateurs ont créé des plats avec de la chicorée, le boulanger a mis de la chicorée dans son pain, les gens ont redécouvert un goût. »

Appel aux dons pour la réhabilitation
      La Fondation du patrimoine, qui soutient des projets de mise en valeur de territoires, participe à celui de Vieille-Église. « Les repères économiques changent et par conséquent notre territoire devient touristique et il faut développer nos centres d’intérêt. Les gens le disaient : Nos sécheries sont nos cathédrales », commente Marie-Philippe Whitman, déléguée du Pas-de-Calais à la Fondation. Elle propose une souscription auprès des particuliers et des entreprises en échange d’une défiscalisation. « Cela constitue une appropriation du patrimoine, d’une identité et une participation à la restauration d’un monument », souligne-t-elle.

Fondation du patrimoine : info@fondation-patrimoine.org
    PAR CHLOÉ TISSERAND    
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Source : Nord Littoral

Lundi 21.07.2014 | Vieille-Église |


clav

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Source : Nord Littoral

Lundi 21.07.2014 | Vieille-Église |


intervillage

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Source : La Voix du Nord

Mardi 15.07.2014 | Calaisis |

Calaisis : feu d’artifice, compétition intervillages ou repas-spectacle, à chacun son 14 Juillet
intervillage
À Vieille-Eglise, le chauvinisme bon enfant était de rigueur durant les jeux Intervillages organisés face aux voisins d’Offekerque.

    Les flonflons et les pétards sont rangés, les festivités du 14 juillet sont terminées.
feu artifice         spectacle
       Les pieds dans le sable, adossé à un chalet :                  A Fréthun, le public a pu applaudir Christophe Rambour
 le meilleur endroit pour admirer le feu d’artifice à Calais.
              et d’anciens choristes de Fa Si La Chanter.             
BE. B, B. B. (CLP)  
==> Autres photos de l'inter village
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Source : La Voix du Nord

Mardi 08.07.2014 | Vieille-Église |

Nouvelle-Église : l’aire de covoiturage en bordure d’A16 opérationnelle en septembre
ecole
La zone de covoiturage verra le jour en septembre. Actuellement, ce n’est encore qu’un champ.
      On l’attendait pour le 7 juillet. Ce mardi encore, la zone de covoiturage au niveau de la sortie de l’A16 Oye-Plage - Audruicq (sur la route D219) était inchangée.

     Le maire de Nouvelle-Église Patrick Way explique : « Officiellement, le chantier est démarré. Nous sommes encore dans des démarches administratives. » Concrètement, les travaux devraient débuter dans les jours à venir, à commencer par la voirie. La zone de covoiturage proprement dite, située dans le champ juste en face de l’actuel parking, sortira de terre début août, « après la moisson ». L’achèvement des travaux est prévu pour fin septembre.
      La future aire comprendra soixante places de parking. Elle sera aménagée et plus accessible, contrairement à l’actuelle zone de covoiturage – quelques mètres de gravier en bord de route. Cette dernière est déjà utilisée par ceux qui travaillent en Belgique, à Lille ou à Dunkerque, entre autres. Le nouvel espace aura plus de place et sera plus pratique.
      Pour le conseil général, qui finance le projet, la route D219 est « un axe prioritaire ». Ainsi, dans un souci de sécurité, une bande cyclable, « totalement indépendante de la voie de véhicules », sera aménagée.
      Pendant les travaux de voirie, la circulation sur la D219 se fera en alternance du matin au soir.
J.-PH. D.  
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Source : La Voix du Nord

Jeudi 03.07.2014 | Vieille-Église |

Nouvelle-Église : des parents d’élèves occupent l’école pour protester contre la fermeture d’une classe
ecole
Manifestation des parents d'élèves
     Ce jeudi, une trentaine de parents d’élèves a investi l’école primaire Claude-Monet afin de protester contre la fermeture, dès la rentrée prochaine, de la seule et unique classe de la commune destinée aux moins de trois ans.

    « Dès que nous avons appris la nouvelle il y a quelques mois, nous avons immédiatement demandé un rendez-vous avec l’inspection académique à Arras, explique Patrick Way, le maire de la commune. Nous n’avons même pas été reçus par le directeur académique mais par l’un de ses adjoints qui n’a fait que nous rappeler les textes de lois et qui nous a précisé que cette fermeture était motivée par le fait qu’il y aurait une ouverture de classe dans une zone plus défavorisée. On nous avait promis une réponse définitive pour le 29 juin en nous indiquant qu’il y avait peu d’espoir. Or, nous n’avons toujours pas de réponse et c’est pour cette raison que nous montrons notre mécontentement. »
         Deuxième manifestation

    La colère est suscitée par l’incompréhension : pourquoi fermer une classe qui accueillait, tout de même, une vingtaine d’enfants ? Surtout que le système n’était pas des plus coûteux comme l’explique le maire : « Une personne, employée par l’école, s’occupait des enfants le matin et une autre, employée par la mairie, l’après-midi. Il n’y avait donc qu’un demi-poste à la charge de l’État. »
    « Il ne nous reste plus que les nounous, la garderie ou la crèche, s’il reste de la place, ou alors changer d’école », constate une maman. « Mais les familles ne mettront pas les petits dans une école et les grands dans une autre. Dès lors, notre école va se vider et, l’année prochaine, on devra peut-être lutter contre la fermeture d’une autre classe et ainsi de suite… », déplore une autre mère.
     Les familles n’entendent pas baisser les bras. Ce jeudi, c’était la deuxième manifestation qu’ils organisaient et d’autres actions sont prévues, en particulier à la rentrée. Un autre courrier a été envoyé à l’inspection académique et une pétition a déjà recueilli plus de 80 signatures. « Nous en attendons le double », précise un père.
SE. M. (CLP)   
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Source : La Voix du Nord

Dimanche 26.06.2014 | Vieille-Église |

À Vieille-Église, inauguration de la station d’épuration Organica, ce jeudi matin
Organica
Beaucoup de monde a assisté à l’inauguration de la station d’épuration intercommunale.
Organica
Le procédé de purification des eaux est naturel.
    Ce jeudi matin s’est déroulée l’inauguration de la nouvelle écostation d’épuration baptisée Organica et située à Vieille-Eglise.

    Cet événement, point culminant d’un projet qui a pris cinq ans, a débuté par une visite guidée de la station ouverte à tous et pour laquelle trois autocars ont été apprêtés. Cela a permis à plus de 150 personnes de découvrir le fonctionnement de cette station nouvelle génération dont il n’existe qu’un seul autre modèle en France.

    La spécificité de cette station d’épuration ? Il s’agit d’une initiative conjointe de cinq communes (Nouvelle-Eglise, Oye-Plage, Saint-Folquin, Saint-Omer-Capelle et Vieille-Eglise). Initialement, sur ces cinq partenaires, seul Oye-Plage était doté d’une station d’épuration, cette dernière étant obsolète depuis plusieurs années. Le caractère exceptionnel de cette structure réside surtout dans son procédé d’assainissement. En effet, le concept Organica repose sur une base écologique, respectueuse de l’environnement.

    Ainsi, pour purifier les eaux usées arrivant à la station, seules des plantes sont nécessaires. Par un principe réactif de bactéries présentes dans l’eau et dans les racines de ces plantes, la purification s’effectue naturellement, ce qui réduit considérablement le nombre de produits chimiques utilisés.

    D’origine hongroise, ce projet, porté par les entreprises Sogeti, MSE et Balestra, a peu a peu conquis les institutions jusqu’à finalement obtenir un financement FEDER (fonds européen de développement régional).

Organica  Organica
 
T.D. (CLP)  
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Source : La Voix du Nord

Dimanche 15.06.2014 | Vieille-Église |

Quatorze médaillés à l’occasion de la ducasse à Vieille-Église
médailles
Des médailles agricoles, de la famille et du travail ont été distribuées.
     Dimanche, à l’occasion de la ducasse, Dominique Pourre, maire, et Nicole Chevalier, présidente de la communauté de communes de la région d’Audruicq, ont remis des médailles à quatorze habitants de la commune.

     Madame Cartier, maman de Jennifer, Nicolas, Angélique et Charlotte, a reçu la médaille de la famille. Vincent Lacroix a été distingué de la médaille d’honneur agricole. Serge Harlay, agent communal, a reçu la médaille d’honneur, régionale, départementale et communale Argent pour vingt ans de service au sein de la collectivité.

     Christelle Lavoine, Virginie Leroy, Jean-François Duhr et Willy Wierre ont reçu la médaille du travail Argent récompensant deux décennies de labeur.
   Alain Duwicquet et Pascal Lorthois ont reçu la médaille du travail Vermeil. Christian Marescaux et Bruno Tiébot ont reçu la médaille du travail « Or ».
   Enfin pour leurs quarante années de travail, Patricia Lengagne, Gilles Carpentier et François Jankowski ont reçu la médaille « Grand Or ».
B. B. (CLP)  
==> Plus de photos

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Source : La Voix du Nord

Jeudi 12.06.2014 | Vieille-Église |

Vieille-Église : les élèves de l’école décrochent leur permis piéton
permis
Une représentante de la gendarmerie est venue sensibiliser les enfants.
     Pour apprendre les règles élémentaires de prudence, les élèves de l’école Vermeer ont suivi plusieurs formations avec leurs enseignants et avec les représentants de la gendarmerie. « L’enfant dispose d’une acuité visuelle réduite jusqu’à l’âge de 10 ans. Même si à 6-7 ans son champ visuel est comparable à celui de l’adulte, il a tendance à négliger la vision périphérique indispensable à l’appréhension des dangers de la circulation. L’enfant ne sait pas correctement évaluer les distances, et il lui est difficile de distinguer une voiture qui se déplace lentement d’un véhicule à l’arrêt », indique Séverine Desitter, de la gendarmerie de Oye-Plage.
    Après cette sensibilisation, les enfants ont obtenu dernièrement leur permis piéton.

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Source : Nord Littoral

Jeudi 12.06.2014 | Vieille-Église |

Un permis pour être piéton
permis
A Vieille-Eglise, les enfants ont passé leur permis piéton.
     A l’école primaire Johannes Vermeer, à Vieille-Église, avait lieu une remise de permis de circuler pour les piétons.

     Cette remise a eu lieu en présence Brigitte Bridenne, adjointe aux affaires scolaires. Séverine Desitter de la gendarmerie d’Oye-Plage a remis les précieux sésames aux élèves de CE2. L’apprentissage se fait grâce à un livret et un DVD interactif par le biais des enseignants. Ce permis a été conçu pour les élèves des écoles primaires en 2006. Ces diplômes serviront plus tard, quand ils seront grands !
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Source : La Voix du Nord

Mercredi 11.06.2014 | Vieille-Église |

Vieille-Église : ce week-end, trois jours de fête à l’occasion de la ducasse
ducasse
La musique de Nortkerque animera la matinée de dimanche.
     Comme chaque année, le village sera en fête à l’occasion de la ducasse.

     De samedi à lundi, chaque après-midi, petits et grands pourront s’amuser dans les attractions foraines, installées sur la place du village. La journée du dimanche sera la plus chargée avec la braderie-brocante qui animera les rues de la cité viétiéglisoise toute la journée. Dans la matinée, un dépôt de gerbes et une remise de médailles animée par la musique de Nortkerque aura lieu.
     Le samedi soir, l’association des parents d’élèves organise un barbecue et le lundi midi, les membres du club cycliste et du club de l’amitié s’unissent pour proposer un méchoui. « La municipalité et les associations se sont mobilisées pour accueillir de nombreuses personnes aux manifestations de la ducasse. Le comité des fêtes va offrir à chaque enfant viétiglisois (nés entre le 15 juin 2000 et le 15 juin 2012) trois tickets de manège à retirer en mairie », indique Dominique Pourre, maire.

      Réservations pour le méchoui du lundi 16 juin au 03 21 35 56 67 (club de l’amitié) ou au 03 21 17 33 17 (club cycliste).
B. B. (CLP)  
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Source : La Voix du Nord

Mercredi 04.06.2014 | Vieille-Église |

Vieille-Église : un nouveau propriétaire pour le salon de coiffure
coiffeur
Audrey Drieux a tenu à se débrouiller toute seule pour ouvrir son salon.
     Audrey Drieux vient de reprendre le salon de coiffure Amélie Coiffure situé sur la place et créé Ad Coiff.

     Audrey Drieux a débuté la coiffure dès l’âge de 15 ans lors d’un contrat d’apprentissage et a obtenu son brevet et son CAP au centre de formation des apprentis. « Puis, j’ai travaillé dans des salons à Marck et à Ardres où mes anciens patrons, MM. Dernoncourt et Brams, m’ont accompagné dans ce projet », indique-t-elle. L’occasion s’est ensuite présentée de reprendre le salon de coiffure de son village où elle est membre du comité des fêtes et de devenir « sa propre patronne ».
     Pour créer son entreprise, la jeune femme, n’a pas pu bénéficier d’aides financières : « Je me suis débrouillée toute seule pour en arriver là ! ».
     Petite particularité le salon est ouvert le lundi. « Beaucoup de salons sont fermés le lundi et j’ai voulu me démarquer des concurrents. Mon jour de fermeture est le mercredi », indique la jeune femme. Elle propose des coupes pour toute la famille (hommes, femmes et enfants) et accueille sa clientèle dans son salon avec ou sans rendez-vous.
B. B. (CLP)   
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Source : Nord Littoral

Samedi 31.05.2014 | Vieille-Église |

Ducasse et médailles à la mi-juin
ducasse
Ducasse et médailles à la mi-juin
     Durant trois jours, la commune de Vieille-Eglise vivra au rythme de la ducasse. Cette dernière sera organisée par la municipalité et les associations. Voici le programme :

samedi 14 juin à partir de 15 heures, kermesse de l'école et remise des prix. A partir de 16 heures, ouverture des attractions foraines et dès 19 heures, barbecue organisé par l'Association des parents d'élèves (APE).

Le lendemain, à partir de 7 heures, aura lieu la braderie-brocante du comité des fêtes, avec à 11 heures 20, un dépôt de gerbe au monument aux morts et à 11 heures 30, une remise de décorations suivie d'un vin d'honneur. A partir de 12 h 30, les manèges seront ouverts.

Lundi 16 juin, à 13 heures, le club de l'Amitié et le club cycliste proposeront un méchoui. Les réservations sont ouvertes jusqu'au 10 juin au 03.21.35.56.67. et au 03.21.17.33.17.

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Source : La Voix du Nord

Jeudi 29.05.2014 | Vieille-Église |

Élections européennes : les professions de foi non distribuées aux habitantes de Vieille-Église
élections
Par mégarde, des professions de foi n’auraient pas été distribuées à au moins 250 femmes de la commune.
     Petit couac dans la commune juste avant les élections européennes. Deux cent cinquante enveloppes contenant des professions de foi n’auraient pas été distribuées aux femmes résidant dans la commune.
     Ces enveloppes ont été envoyées sous leur nom de jeune fille. « Or, le facteur, qui est un remplaçant, connaît ces habitantes sous leur nom marital. Il a donc classé ces courriers avec mention personne ne résidant pas à cette adresse. Je ne l’ai pas mis au procès-verbal car de toute façon tout le monde peut trouver les bulletins et les professions de foi en mairie », a précisé le maire, Dominique Pourre. La distribution du courrier est en effet gérée par la municipalité depuis la disparition du bureau de poste dans la commune.

     Selon Dominique Pourre, une seule habitante s’est plainte de cette situation et a refusé d’aller voter.

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Source : Nord Littoral

Samedi 24.05.2014 | Vieille-Église |

La station d'épuration attire les visiteurs
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L'unité de séchage des boues est complémentaire à la station Organica.
     Durant deux jours, la station d'épuration intercommunale située à Vieille-Eglise a ouvert ses portes au public. Près de quatre cents personnes sont venues visiter les lieux, un véritable succès pour le Syndicat intercommunal de la région d'Andres (Sira).
Michel Wallart est le responsable de cette station. A chaque groupe de visiteurs, c'est avec plaisir qu'il a décrit le principe de fonctionnement de cette unité particulièrement rare en France. Ce processus innovant vise à réduire les quantités de boues et les consommations d'énergie : «Ce système utilise un procédé de double culture, explique-t-il, la première est libre de bactéries et la seconde est dite fixée. Cela veut dire que l'on utilise la racine des plantes pour créer un habitat qui permettra à d'autres bactéries de s'installer et d'utiliser la pollution de l'eau pour se développer. C'est ce que l'on appelle un système hybride. L'important est l'habitat que les plantes offrent afin de fabriquer de nouvelles bactéries. » L'autre partie de la station est dédiée au séchage des boues. Ces dernières sont extraites et considérées comme des déchets. Traitées comme telles, elles sont gardées neuf mois avant de partir en épandage en juillet et en août.
   Portes ouvertes «Qui dit réseaux de transfert ne dit pas que l'habitant peut se raccorder, précise Dominique Pourre, le maire de Vieille-Eglise ; il ne s'agit que de transport et son fonctionnement est exclusivement du ressort du Sira. Il fonctionne sous pression et personne d'autre que les techniciens du Sira, ne peut intervenir. » L'Agence de l'eau finance le raccordement des réseaux de transfert. Jacques Rivenet, le président du Sira s'est dit très satisfait de cette opération: «La fréquentation se situe au-delà de nos espérances. Il faut dire qu'en début de semaine, nous avions peur de ne voir personne. Nos techniciens se sont mobilisés pour commenter ces visites. » La station depuration intercommunale pourra traiter les eaux usées de 9 700 habitants. Actuellement, seule la commune d'Oye-Plage y est raccordée. A terme, les villages de Nouvelle-Eglise, Vieille-Eglise, Saint-Omer Capelle et Saint-Folquin le seront également. La station Organica et le système de séchage de boues auront coûté 4,3 millions d'euros. Les fonds européens ont donné 600 000 euros, l'Agence de l'eau et des emprunts ayant financé le complément. Tout ou presque est automatisé et un demi-poste seulement est nécessaire au fonctionnement de cette station d'épuration.

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Source : La Voix du Nord

Mercredi 21.05.2014 | Vieille-Église |

  Les élèves de l’école Vermeer s’initient au théâtre et à ses métiers
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L’atelier de création de masques par les élèves de l’école Vermeer pour le projet « Vermeer fait son théâtre ».
     Depuis le début de l’année, les élèves des classes de CE2 et CM1 de l’école Vermeer sont initiés au théâtre et aux métiers y attenant (créatrice de masques, costumière, gestionnaire des lumières, responsable du son…). Ce projet a lieu en association avec le Théâtre de l’Ordinaire de Lille. Ses créations s’appuient sur un théâtre visuel, notamment centré sur le travail du jeu masqué (comédie italienne, clown…).

    « Le projet Vermeer fait son théâtre vise à faire entrer les enfants dans une démarche de participation active afin de les amener progressivement du rôle de spectateur à celui d’acteur.
Les acteurs du Théâtre de l’Ordinaire ont présenté aux élèves une de leurs créations intitulée Tchao, pièce de théâtre masquée burlesque. Ce projet se déroule jusqu’au printemps 2015, moment auquel les élèves montreront leur spectacle qu’ils géreront seuls (acteur, mise en scène, costumes, bruitage…) », explique Catherine Aréthens, directrice du RPI de Nouvelle et Vieille-Église.

                Fabrication de masques
     La première étape de ce projet a été la création de masques avec Carolina Munoz, créatrice de masques sur Paris. Cette création a duré quatre jours. « Le premier jour on a confectionné un moule avec de la terre cuite. Le deuxième jour, on a recouvert les moules avec des bandes de plâtre. Le troisième jour, on a démoulé les plâtres. Et enfin, le dernier jour, on a décoré les moules avec de la peinture en y association des moustaches et des sourcils », expliquent avec enthousiasme les élèves de la classe de Florence Lefebvre-Harle et de la classe de Claire Ringot.

     Les élèves ont aussi participé à des ateliers d’apprentissage des techniques de jeu théâtral (avec David Bensimon) et de musique et effets sonores (avec Erwan Frelaut). Avec l’aide de Maxime Séchaud, metteur en scène, ils ont débuté l’écriture de saynètes qu’ils présenteront devant leurs parents le mardi 24 juin. Ils essaieront de gérer l’ensemble du spectacle (de la lumière au bruitage) comme de vrais intervenants du théâtre.
B. B. (CLP)  
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Source : Nord Littoral

Mardi 20.05.2014 | Vieille-Église |

Petites papilles et grands goûteurs
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Petites papilles et grands goûteurs
     Les écoles de Vieille-Église, Nortkerque et Saint-Omer Capelle participent au projet " Petites papilles et grands goûteurs " mis en place par la CCRA. Deux artistes, le conteur Pierre Delye et le musicien Grégory Allaert, interviennent avec les élèves de CM 2 afin de préparer un spectacle qui aura lieu le vendredi 6 juin à Oye-Plage.
Grâce à ce projet de la CCRA les élèves ont eu l'intervention de l'association "Les Anges gardins" qui les ont initiés au jardinage et à la cuisine : confection de cake à la betterave-pomme et carotte-orange.
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Source : Nord Littoral

Jeudi 15.05.2014 | Vieille-Église |

Découvrez Organica
organica
Découvrez Organica
     Le SIRA (Syndicat Intercommunal de la Région d'Andres), organise les vendredi 16 et samedi 17 mai prochains, de 10 h à 17 h, deux journées « portes ouvertes » à la station d'épuration « Organica » située à Vieille-Eglise, route du pont d'Oye.
Cette station d'épuration, d'une capacité correspondante à 9700 habitants, traite les eaux usées de la commune d'Oye-Plage, puis prochainement, les eaux usées des communes de Vieille-Eglise, Nouvelle-Eglise, Saint-Omer Capelle, Saint-Folquin et Offekerque.
      Il s'agit d'une station tout à fait particulière qui, en plus d'un traitement traditionnel, améliore ses rendements à l'aide des racines des plantes.
     Ces journées « portes ouvertes » vous permettront de découvrir les dizaines de variétés de plantes présentes dans la serre.
     Cette station d'épuration présente également un autre aspect technologique intéressant, le séchage solaire des boues.
     Un projet unique au nord de Paris, la plus grande station de France de ce type, issue d'un procédé hongrois, c'est à découvrir ! Venez nombreux

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Source : Nord Littoral

Dimanche 04.05.2014 | Vieille-Église |

Marché aux fleurs
fleurs
Marché aux fleurs
     Jeudi, l'association des parents d'élèves des écoles Johannes Vermeer de Vieille-Église et de l'école Claude Monet de Nouvelle-Église, avait, comme tous les ans, organisé un marché aux fleurs. Le président de l'association, David Bouvard, a coordonné les quinze exposants et a fait venir les fleurs de chez un fournisseur unique de Saint-Omer. Les bénéfices de cette journée profiteront aux élèves.
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Source : La Voix du Nord

Samedi 03.05.2014 | Vieille-Église |

Vieille-Eglise : un marché aux fleurs pour soutenir les actions scolaires
fleurs
Le marché aux fleurs organisé par les parents d’élèves s’est tenu jeudi.
     C’est une tradition qui perdure depuis maintenant dix-huit années : le marché aux fleurs du 1er Mai. Ainsi, jeudi, les membres de l’association des parents d’élèves ont arboré pendant toute la journée un magnifique tablier de jardinier pour proposer à la vente différentes fleurs issues d’un producteur de Saint-Omer.
     Les bénéfices de la vente seront reversés à l’association et permettront de financer une partie des sorties scolaires ou l’achat de fournitures pour les deux écoles de Vieille-Église et de Nouvelle-Église qui forment le regroupement pédagogique intercommunal (RPI).

Des fleurs pour les balcons
     Pour de nombreux Viétiéglisois, ce marché a été l’occasion de se procurer des fleurs qui viendront orner jardins et balcons et ainsi pouvoir participer au concours des maisons fleuries organisé par la municipalité. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 30 mai.
B. B. (CLP) 
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(=> revue de presse janvier-juin 2014)
(=> revue de presse 2013)
(=> revue de presse oct.décembre 2012)
(=> revue de presse décembre 2011)


Perplexe
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