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Source : La Voix du Nord

mardi 01.12.2009 | VIEILLE-EGLISE |

Un test grandeur nature pour l'arrachage de la chicorée

Dans l'un des champs d'Éric Rivenet, agriculteur à Vieille-Église, la Confédération nationale des planteurs de chicorée à café, présidée par Philippe Butez, a fait réaliser un test grandeur nature d'arrachage de la chicorée à café. À ce titre, sous l'égide de Yannick Delourme, conseiller technique, et de Pierre André, responsable de l'unité sécherie de Vieille-Église de l'entreprise Leroux, la confédération a fait arracher cinq hectares de chicorée à cinq machines différentes, chaque hectare ainsi récolté étant directement envoyé à la sécherie toute proche. Les explications des professionnels.

> En quoi consiste ce test ?
« D'abord, c'est la toute première fois en France que nous réalisons ce genre d'essai. En ce sens, nous avons convié les deux cent cinquante producteurs de chicorée à café, qui cultivent 1 810 hectares, à assister à ce test. Ils viennent de tout le Nord - Pas-de-Calais, mais aussi de Picardie. Après avoir arraché les cinq hectares prévus avec cinq machines différentes, nous allons analyser les chargements et calculer la tare terre, c'est-à-dire le nombre de kilos de terre inutiles enlevés par la machine, les systèmes d'arrachage de chaque machine étant très différents. »

> Quel est le coût de l'arrachage ?
« Il est d'environ 300 € à l'hectare quelle que soit l'arracheuse. Une dizaine de professionnels possède ce genre de matériel. En outre, il faut environ une heure trente pour arracher un hectare suivant le type de machine (Grimme, Vervaet, Agrifac ou Holmer). »

> Comment est la récolte cette année ?
« Exceptionnelle. Nous allons enregistrer un excédent de 15 %. Le rendement est d'environ 75 tonnes à l'hectare. D'autre part, une bonne variété de chicorée doit être riche en matière sèche soluble. En 2007, l'usine Leroux a enregistré un rendement en matière sèche de 24,02 %. Cette année, il avoisine les 28 %. »

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Source : La Voix du Nord

dimanche 29.11.2009 | VIEILLE-EGLISE |

Une clé USB pour chaque enfant de l'école Vermeer

Cle USB
Grégory Lefebvre explique le fonctionnement de l'outil aux différents partenaires.
  L'école publique Vermeer, dirigée par Grégory Lefebvre et fonctionnant en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec Nouvelle-Eglise, dispose depuis plusieurs années de deux classes pupitres qui permettent aux élèves de suivre environ 50 % de leur scolarité en CM 1 et CM 2 avec l'aide d'un ordinateur.

  Afin de poursuivre cet effort pédagogique et le développement des nouvelles technologies au sein de l'école, chaque élève a reçu jeudi une clé USB bracelet qui lui permettra d'amener chez lui ses leçons et ses exercices.

Cette opération a été rendue possible grâce au partenariat entre la municipalité, la société OVH de Roubaix, représentée par Stéphanie Klaba, et l'association Sodalis, présidée par Loïc Ledru.

Alléger le cartable

« Cette clé USB allégera sans aucun doute le cartable des enfants. Ceux-ci ne seront plus obligés d'emporter chez eux livres et cahiers puisque les leçons et les exercices sont sur la clé de stockage. Celle-ci est d'ailleurs chargée en logiciels gratuits qui permettent la lecture des différents documents construits par le maître de la classe », a souligné Grégory Lefebvre.
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Source : La Voix du Nord

vendredi 27.11.2009 | VIEILLE-EGLISE |

Olivier d'Hulst fait tomber ses masques au musée de la Céramique de Desvres

Olivier D'Hulst
Olivier d'Hulst est artiste plasticien à Vieille-Église.
  L'exposition « Des masques et vous » d'Olivier d'Hulst, artiste-plasticien à Vieille-Église, est visible dès ce soir au musée de la céramique à Desvres, où l'artiste est en résidence avant de faire un voyage dans toute la France. Rencontre.

> Pourquoi avoir choisi le thème du masque ?
« Ma démarche artistique a toujours été centrée sur l'humain. Il est ma source d'inspiration. Depuis les temps les plus reculés, le masque a toujours existé. Toujours façonné par la main de l'homme, il avait une fonction, une utilité. Aujourd'hui, le masque est plus conceptualisé : invisible en apparence mais toujours bien présent au quotidien. "Être soi-même" est quasiment impossible dans notre société pour de multiples raisons, alors on prend un masque pour faciliter les rapports humains : c'est cette idée que j'ai voulu développer. »
> Quelle technique utilisez-vous ?
« Celle de la céramique, plus particulièrement l'émail, qui m'a permis d'explorer la couleur, avec laquelle j'ai l'impression de m'exprimer différemment. De ce fait, mes masques ont changé d'expression, ils ont un autre regard, une nouvelle âme. Pour explorer cette technique, je suis allé à la rencontre de plusieurs faïenciers de Desvres avec qui j'ai travaillé en fonction de la diversité de leurs fours. Par exemple, avec François Dewisme, potier céramiste, j'ai réalisé une cuisson raku, qui renoue avec les traditions ancestrales : le four primitif, le contact direct avec le feu (entre 800 et 1000 ° C), qui me permet d'obtenir de très belles patines, surprenantes et uniques. »
> Vous avez travaillé avec les enfants de l'école de Desvres ?
 
« Je tenais beaucoup à cette expérience. Sensibiliser les enfants à l'art est très important. Chaque enfant a pu réaliser son propre masque dans l'argile et l'emmener après quelques séances. »
> Pouvez-vous parler de votre exposition ?
« L'exposition est pour moi un moment fort : elle est l'aboutissement, la concrétisation de cette expérience qui a duré plusieurs mois. Elle sera composée d'une quarantaine de masques et de visages en faïence réalisés avec des techniques mixtes. Un artiste me disait un jour : " exposer, c'est se retrouver face à soi-même." J'ai moi aussi cette sensation de pudeur et d'impudeur. » •

Exposition « Des masques et vous » visible jusqu'au 9 mars, tous les jours de 14 h à 17 h 30, au musée de la Céramique à Desvres. Fermé le lundi.




Plus d'infos sur l'expo :  Maison de la faïence de Desvres
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Source : La Voix du Nord

dimanche 22.11.2009 | VIEILLE-EGLISE |

L'école Vermeer encore récompensée pour son travail avec l'informatique

école Vermeer
Le maire et le directeur à Paris pour recevoir le label «école internet », décerné cette année encore à l'école Vermeer.
  Déjà au palmarès du premier label « école internet » l'an passé, l'école Vermeer vient d'être de nouveau distinguée.
Mercredi, au salon de l'éducation, son directeur Grégory

  Lefebvre, le maire Dominique Pourre et l'adjoint aux affaires scolaires Pascal Friscourt ont reçu la distinction.

  L'école Vermeer est une des 57 écoles françaises dont le travail avec l'informatique est ainsi reconnu officiellement. « Distinction supplémentaire, nous sommes dans les douze premiers », précise Grégory Lefebvre.

Si le label « école internet » est une reconnaissance du travail de l'école, il ne lui apporte pas de moyens matériels supplémentaires. En revanche, il permet de partager les expériences avec d'autres écoles, de mutualiser les idées, résume Gégory Lefebvre. À Paris, le directeur a ainsi présenté l'utilisation de l'informatique par son école : la classe pupitre (entièrement informatisée), le jumelage interactif avec une école anglaise, l'espace numérique de travail, et les clés USB qui remplacent les lourds cartables pour les devoirs du soir... L'école a aussi pour originalité de monter un faux site internet - cette année sur le thème du 11-Novembre - : « Écoliers, collégiens, lycéens ont tendance à piocher des informations sur internet pour leurs exposés, sans les vérifier. Sur notre faux site, nous donnons des informations erronées. L'idée est d'inciter les enfants à recouper leurs sources », explique Grégory Lefebvre. Les projets ne manquent pas : « Le prochain objectif est d'ouvrir un espace numérique de travail pour les parents. Avec un code, ils auraient accès aux notes, aux renseignements administratifs, à un cahier de liaison », envisage le directeur.

Bonne nouvelle aussi pour l'école Vermeer : elle est retenue par le ministère de l'Éducation nationale dans son projet de classes numériques rurales pour les petites communes. L'État va financer à 80 % dix portables pour les élèves, un ordinateur pour l'instituteur, un tableau blanc interactif et doter l'école d'un budget pour des logiciels. Ce matériel permettra aux enfants qui ne sont pas dans une classe pupitre de travailler quand même sur informatique. •

A. M.

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Source : La Voix du Nord

jeudi 05.11.2009 | VIEILLE-EGLISE |

Le bureau de Poste a fermé, la commune reprend le flambeau

agence postale
Maïté Lavoye, en service à l'agence postale installée dans la mairie.
Déjà une file d'attente au guichet. Après consultation auprès du conseil municipal et de la population, le maire Dominique Pourre a décidé de quitter son bureau pour le transformer en agence postale communale, opérationnelle depuis lundi.

Dominique Rossy, agent EDF, vient d'acheter des timbres. « J'arrive de Saint-Folquin. Venir ici, c'est moins loin que d'aller jusqu'à Audruicq.

Je viens d'apprendre que le bureau de Poste est fermé et qu'il fallait aller en mairie. Alors est-ce qu'ici ils feront la même chose que la Poste ?

Est-ce que je vais toujours recevoir mes colis et mon courrier recommandé ? » La réponse est oui. « Les services et la tarification de la Poste restent les mêmes. Par contre, on ne peut pas ouvrir un compte et les retraits et dépôts sont limités à des sommes plus petites », précise Dominique Pourre. « Je voulais retirer 300 €, je ne peux pas, il n'y a que les titulaires du compte qui peuvent.

Ça ne va pas ça, je vais aller sur Audruicq ! », s'énerve Marie-Josée, 44 ans.

Sondée en juillet, la population a marqué sa préférence pour la création d'une agence postale communale. « Soit le bureau de Poste restait ouvert et la durée d'ouverture passait de 23 h 30 par semaine à 12 heures, ce qui aurait entraîné à long terme une fermeture définitive soit la commune ouvre son agence postale 80 heures par mois minimum », explique le maire.

Garder le lien de proximité « Ce n'est pas de gaieté de coeur qu'on reprend les services de la Poste », confie Dominique Pourre. « C'est un service supplémentaire avec un salaire à payer, une ligne téléphonique. Mais à l'heure où la commune fait de gros investissements auprès des personnes âgées, ce serait dommage de ne plus avoir la possibilité de retirer de l'argent ! Loin de moi l'idée de reprendre la Poste. Mais nous ne voulons pas de sa fermeture et nous voulons garder le service de proximité. » Une convention a été passée entre la commune et la Poste. Celle-ci assurera pendant neuf ans à la commune une indemnité de 855 €. Et l'efficacité de l'agence postale communale sera évaluée. « Si la population ne fait pas vivre l'agence, la convention peut être rompue. Et sans cette indemnité, nous ne pourrons plus assurer ce service », répond le maire, embarrassé.

Une nouvelle employée communale La municipalité a décidé de retenir les candidatures des habitants du village pour le nouveau poste. Quatorze demandeurs d'emploi ont postulé pour un contrat aidé.

Maïté Lavoye, qui a un BTS transport et logistique, a été sélectionnée après être passée en entretien et avoir réussi des tests informatiques. Elle travaillera avec Angélique Muszynski, déjà employée de mairie. Maïté et Angélique ont été formées par une guichetière de la poste de Sainte-Marie Kerque.

Lundi, cette dernière s'est exclamée : « L'apprentissage est compliqué. Il y a de l'affluence ce matin. J'ai dû voir la totalité des opérations en une heure de temps ! » •

Agence postale communale : du lundi au samedi de 8 h 30 à 12 h. Mardi et vendredi de 14 h à 16 h.


Les explications de la Poste                  jeudi 05.11.2009, 05:01 - La Voix du Nord

Laurent Legendre, responsable de la communication de la Poste d'Arras, ...

explique les raisons de la création des agences postales communales (APC).

Pourquoi le bureau de Poste de Vieille-Église a-t-il fermé ?

« Les décisions sont prises en fonction de la fréquentation. Il faut au moins 500 heures annuelles d'accueil des clients pour qu'un bureau de Poste reste ouvert. À Vieille-Église, j'en déduis que le bureau de poste était trop ouvert par rapport au nombre de clients. Dans ce cas, il faut trouver la meilleure solution. Soit on réduit les horaires pour s'adapter à la fréquentation et on garde le bureau de poste traditionnel, soit on garde une amplitude horaire journalière, ce que fait l'agence postale communale. La Poste propose différents points de contact. On en compte 266 dans le Pas-de-Calais dont 25 APC. » Que deviendront le local du bureau de poste et la guichetière qui y travaillait ?

« Le local appartient à la Poste alors il faut voir avec la direction de l'immobilier. La guichetière ne perd pas son poste, elle sera réaffectée ailleurs, mais toujours sur sa zone géographique. » Quels avantages y a-t-il à ouvrir une agence postale communale ?

« L'agence conserve presque l'intégralité des services d'un bureau de poste et elle s'adapte aussi aux modes de vie de ses clients d'aujourd'hui. C'est intéressant en terme d'horaires d'ouverture. Dans le Pas-de-Calais, on est à 96,67 % de présence postale, c'est au-delà de ce qu'impose la loi. » Est-ce que cette fermeture s'inscrit dans la réforme de la Poste qui est actuellement en consultation au Sénat ?

« Rien à voir ! Ce sont deux dossiers différents. La transformation d'un bureau de poste n'entraîne pas la création d'une société anonyme. »

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Source : La Voix du Nord

mardi 03.11.2009 | VIEILLE-EGLISE |

Jérôme Ducrocq, l'excellence de la cuisine française à Las Vegas

Jerome Ducrocq
Deuxième expérience américaine pour Jérôme, le fils de l'ancien boucher Bernard Ducrocq.
Demain, Jérôme Ducrocq,le fils de l'ancien boucher, s'envole pour Las Vegas. Dans la cité du jeu, il va créer le pôle traiteur d'un nouvel hôtel. Une nouvelle aventure pour ce jeune cuisiner curieux et exigeant.

 PAR ANNICK MICHAUD
calais@lavoixdunord.fr PHOTOS : REPRO « LA VOIX »
Le Ritz-Carlton à Cleveland, les étoilés Méridien Montparnasse, Le Carré des feuillants, Le George V, le Pavillon Ledoyen à Paris : depuis la fin de ses études, en même pas dix ans, Jérôme Ducrocq a multiplié les expériences dans des établissements prestigieux. Le jeune cuisinier franchit une nouvelle étape, de l'autre côté de l'Atlantique : « Je vais travailler à Las Vegas, pour le chef pâtissier du Bellagio, Jean-François Maury, meilleur ouvrier de France et champion du monde de pâtisserie. Il ouvre une boutique dans un nouvel hôtel, l'Aria (lire ci-dessous). Il veut développer un pôle "salé" pour offrir une activité traiteur dans ses deux magasins. J'en serai chargé. Je vais voler de mes propres ailes, appliquer ce que j'ai appris », décrit Jérôme Ducrocq.

Si Las Vegas est le royaume des jeux d'argent et d'un certain bling-bling, Jérôme Ducrocq ne part pas avec l'idée de travailler seulement le homard ou le caviar : « La gastronomie, ce n'est pas forcément des produits de luxe. On peut faire des choses simples, bien travaillées, dans le respect des produits. »

Cet attachement à la qualité, ce goût des bons produits, le futur expatrié assure les tenir de ses racines, la boucherie familiale de Vieille-Eglise, où il a passé du temps dès sa plus tendre enfance. D'ailleurs, Jérôme Ducrocq s'est longtemps destiné à reprendre la boutique créée par son arrière grand-père. BEP, CAP, bac pro cuisine, BTS arts culinaires et arts de la table à Saint-Pierre à Calais : « Papa m'avait dit de faire une école hôtelière pour faire traiteur à la boucherie, car le métier évolue. » Mais quand un de ses profs de BTS évoque des offres d'emploi à Boston, c'est « le déclic ». Des horizons s'ouvrent pour ce jeune garçon curieux, volontaire et exigeant. « Après mon diplôme, j'ai pensé partir à Miami. Finalement, je suis allé aux États-Unis, mais à Cleveland.

Je suis arrivé en février 2001 dans cette ville industrielle, par - 20°. C'était dur. ».

Dix-huit mois, le temps d'un visa, Jérôme Ducrocq est aux cuisines d'un grand hôtel, puis aux banquets. Il a laissé derrière lui la boucherie familiale : « J'ai voulu voir d'autres horizons. J'aime cette sensation de liberté, pouvoir bouger. Je remercie mes parents, ils m'ont laissé le choix.

Mon père m'a toujours dit qu'il faut aller au bout de ses envies. Il m'a donné la culture du travail. »

Le goût du travail, un impératif dans son métier : « Chez Ledoyen, je travaillais treize-quatorze heures par jour. Et pendant les heures de service, c'est de l'intensif ». Le travail, mais aussi l'exigence, la recherche constante de l'excellence, c'est ce qu'il a vécu dans les restaurants parisiens deux ou trois fois étoilés. S'il aime le brassage culturel, les idées culinaires venues d'ailleurs, Jérôme Ducrocq n'a pas perdu ses valeurs. Le fils de boucher qui, chez Ledoyen, a travaillé la viande et les sauces avant de devenir sous-chef, avoue saliver devant la côte à l'os « cuite par papa dans le jardin » ou l'entrecôte tout juste découpée à la boucherie. « Ce que je préfère cuisiner, ce sont les grosses pièces de viande, une côte de veau avec une poêlée de légumes en cocotte, légèrement croquants, et des herbes. Ça a un côté rustique mais cuisiné. » À Las Vegas, Jérôme Ducrocq emmène dans ses bagages une photo ancienne de la boucherie familiale... et ses secrets : « Je vais essayer d'exporter les terrines et pâtés de Vieille-Eglise », s'amuse le jeune cuisinier, qu'on imagine bien un jour à la tête d'une belle et bonne adresse gourmande.
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Source : La Voix du Nord

mardi 03.11.2009 | VIEILLE-EGLISE |

Un déguisement très effrayant, ça compte énormément

Halloween
Déborah Dégardin, de l'association Temps Libre, distribue les bonbons de la boulangerie Moret.
Vendredi, les commerçants n'ont pas hésité à offrir des bonbons aux petits monstres. « Je veux faire peur à tout le monde, je trouvais que le fantôme ça faisait peur surtout avec le masque ! », s'exclame Thomas, 7 ans.
Fixant son déguisement de vampire, Rémi, 10 ans, commente : « Je le trouve assez sympa pour Halloween. » Chance pour Alban, son frère jumeau, Maxence, 5 ans, a bien voulu lui prêter son costume de citrouille pour revêtir la panoplie de Scream. Transformée en méchante sorcière, Laura, 8 ans, s'est tatouée sur la joue une araignée. Louis, 5 ans : « Je fais Halloween parce que je suis gourmand de bonbons ! »  
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(=> revue de septembre-octobre)
Perplexe
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