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Source : La Voix du Nord

vendredi 23.10.2009 |  COMMUNAUTÉ DE COMMUNES D'AUDRUICQ |

L'avenir de la région d'Audruicq va mobiliser les élus

Le conseil communautaire de la communauté de communes de la région d'Audruicq ...
  a tenu mardi soir à la salle Dolto, à Oye-Plage, la séance la plus brève de son histoire ! Figurant seule à l'ordre du jour, une décision budgétaire modificative, pour permettre l'achat de nouveaux containers pour les déchets ménagers, a été rapidement votée à l'unanimité.

Ont suivi deux questions diverses posées par les délégués dont l'une portait sur les badges mis en place pour l'accès aux déchetteries. Force est de constater que le flou artistique le plus complet règne à leur sujet. Il sera demandé au SEVADEC (syndicat d'élimination et de valorisation des déchets du Calaisis) de communiquer sur leur mise en place. Après cette entrée en matière, les participants ont abordé une séance de travail sur la révision du schéma directeur du Calaisis et sa transformation en SCOT (schéma de cohérence territoriale). Le conseil syndical du SYMPAC (syndicat mixte du pays du Calaisis) travaille en effet à la rédaction de ce document et a engagé, pour ce faire, un bureau d'études. Celui-ci a proposé quatre scénarii qui, après débats et amendements, déboucheront sur une synthèse, élément de base du futur PADD (projet d'aménagement et de développement durable). Les projections portent sur le développement économique, l'évolution du climat, de la démographie, les rejets de CO2 liés aux déplacements, la consommation d'énergie, la disparition de terres agricoles pour répondre à l'urbanisation... Une avalanche d'hypothèses, matérialisées par des courbes et des graphiques, qui ont laissé les conseillers perplexes, le sentiment général étant la crainte de voir sacrifié « l'arrière-pays ». Devant l'ampleur et l'importance du sujet, il a été décidé de créer une commission chargée d'une analyse fine des diverses propositions. Les conseillers communautaires sont bien conscients que de leurs avis et prises de position naîtra en définitive un document d'orientation générale qui sera opposable notamment aux documents d'urbanisme des communes et qu'ils engagent le pays pour plus de dix ans. L'heure est donc à la réflexion sans précipitation !
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Source : La Voix du Nord

dimanche 18.10.2009 |  FÊTE DE LA CHICORÉE |

Pour les Dubois, la fête de la chicorée est un rendez-vous à ne pas manquer

fete de la chicorée
André «Indiana Jones» Dubois, et Viviane «Anna Palitkova» Dubois, à la fête de la chicorée.

Pour les Ansériens Viviane et André Dubois, la fête de la chicorée est devenue depuis sa création un rendez-vous incontournable.

Depuis vendredi soir, Viviane dans le rôle de l'espionne russe Anna Palitkova et André dans celui d'Indiana Jones sont deux des acteurs deChico 007, permis de sécher.

« A chaque nouvelle édition de cette fête qui prend de plus en plus d'ampleur, nous prenons du plaisir à nous retrouver entre bénévoles et aussi parce que nous faisons partager cette joie aux spectateurs », déclare Viviane. « Au début, nous n'étions qu'une vingtaine à nous lancer dans cette aventure, aujourd'hui il y a plus d'une centaine de bénévoles, chaque année l'équipe se renforce, notre petite fille nous a également rejoints » confirme André.

Des racines ... et des Russes

Membre du bureau de l'association « Des racines et des hommes » qui organise ce rendez-vous annuel, André Dubois s'y investit comme acteur mais aussi pour donner un coup de main afin de préparer les décors ou assurer sa part de service lors du repas spectacle. C'est en famille que le couple a appris durant plusieurs semaines les répliques. « J'ai dû me faire à l'accent russe », sourit Viviane.

« Cette fête permet de créer des liens entre tous les bénévoles mais aussi avec le public qui vient de plus en plus nombreux », analyse encore l'espionne d'un jour. Plutôt de nature discrète, André n'aime pas s'exprimer en public. « Là je suis déguisé, je suis donc plus à l'aise », confie l'intermittent du spectacle. Quant au personnage le plus drôle qu'André fut amené à jouer, il répond hilare : « Je ne sais plus le nom du personnage, mais il y a deux ans j'ai joué le rôle d'un homosexuel dans des scènes digne de la Cage aux folles ».

Cet après-midi, le couple d'Ansériens continuera de prendre autant de plaisir que les spectateurs lors des dernières promenades-spectacle auxquelles ils participent au même titre que d'autres Ansériens à l'image des randonneurs « les Grolles » qui assurent les visites guidées.

Ce soir la chicorée aura fait son cinéma, les organisateurs penseront déjà au thème de l'édition 2010 et les Dubois cocheront la date sur leur agenda.

Vieille-Eglise : Promenade spectacle « Chico 007, permis de sécher » ; exposition et ateliers pour enfants ; animations de rue. À 13 h 15. Tarif : 7 E enfant : 2 E; gratuit pour les moins de 7 ans. Salle des fêtes.

Nouvelle-Eglise : Animation intitulée « La chicorée ça se cuisine », avec des artisans créateurs de produits et des restaurateurs. De 10 h 30 à 18 h. Entrée gratuite. Salle des fêtes.

Saint-Omer-Capelle Exposition pour tout savoir sur la chicorée (histoire, agriculture, etc.). De 10 h 30 à 18 h. Entrée gratuite. Salle des fêtes.

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Source : La Voix du Nord

samedi 17.10.2009 | VIEILLE-EGLISE |

Semaine du goût : les écoliers invités au restaurant... pour cuisiner

semaine du gout
L'école Vermeer en renfort de la brigade de cuisine du restaurant Le Côte d'argent. PH. JEAN-PIERRE BRUNET

Mercredi matin, trois élèves de l'école Vermeer sont passés derrière les fourneaux du restaurant ...

Le Côte d'argent, à Calais . La récompense de leur travail sur la semaine du goût. Car pour cette occasion encore, les troupes du directeur Grégory Lefèbvre et l'association de parents d'élèves ont joué la carte de l'originalité. Ils ont demandé aux enfants de concevoir « un repas équilibré, original et délicieux à partir d'une liste donnée ».

Les idées ont fusé, puisque 90 menus sont arrivés devant un jury qui a récompensé huit de leurs auteurs, dont trois en leur permettant d'aller travailler dans la cuisine du restaurant d'un grand chef, Le Côte d'argent à Calais.

Mercredi matin, sous l'oeil bienveillant de la brigade du maître restaurateur Bertrand Lefèbvre, Manon Mille (CP), Maxime Rousseeu (CE1) et Clara Friscourt (CM1) ont mitonné un velouté de potiron à la crème fraîche, un cabillaud au beurre blanc et une tarte au chocolat. Des plats qu'ils ont ensuite dégustés en compagnie du maire Dominique Pourre, de Grégory Lefèbvre, de Marylène Girardot, élue en charge du conseil municipal des jeunes, de Pascal Friscourt, adjoint au maire, et Joan Marie, tous deux responsables bénévoles de la cantine.

À la cantine, justement, les 110 demi-pensionnaires ont pu aussi profiter des bonnes idées culinaires de leurs copains. Les menus sélectionnés leur ont été servis. Ils ont pu goûter, entre autres, au sauté de crevettes aux petits légumes de Maxime, au pavé de saumon sauce crevette de Clara ou à la terrine poires chantilly de Manon.

Des demi-pensionnaires qui ont la chance d'avoir encore deux cantinières qui cuisinent des produits frais, achetés chez des producteurs et des commerçants locaux. Finalement, à l'école Vermeer, la semaine du goût, c'est un peu tous les jours... •

ANNICK MICHAUD

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Source : La Voix du Nord

vendredi 16.10.2009 | VIEILLE-EGLISE |

Gilberte Bayart, ouvrière des champs, besogneuse et aguerrie

Gilberte Bayart
Avec la modernisation des outils, Gilberte Bayart a cessé de travailler dans les champs.
Gilberte Bayart fait partie de ces femmes qui, pendant la seconde guerre, ...

ont travaillé dans les champs pour récolter la chicorée.

À 81 ans et quelques jours avant la fête de cette plante devenue célèbre, elle partage ses souvenirs qui s'inscrivent dans la mémoire du patrimoine rural.

« On n'avait pas de moyen de locomotion en milieu rural donc forcément on travaillait dans les champs », commence Gilberte.
 Après l'obtention de son certificat d'études à 12 ans, cette ancienne habitante de Vieille-Église a été engagée à la ferme Rivenet, un important sécheur de chicorée. Aux côtés de seize autres femmes, au mois de mai, Gilberte, munie d'une braquette, démariait la chicorée. « Il fallait laisser une seule chicorée à une certaine distance de l'autre pour qu'elle prenne de l'ampleur et enlever celles qui gênaient.» Il arrivait que les ouvrières interrompent leur activité pour se réfugier dans les fossés lors du passage des avions allemands.

Un travail pénible

D'octobre à décembre, les démarieuses se convertissaient en arracheuses de chicorée. « On portait un gant parce qu'on avait les mains tendres. On piquait la chicorée avec une fourquette, il fallait prendre le pied de la racine et tourner », précise Gilberte. Son dos était courbé en permanence. Elle coupait la chicorée au ras des feuilles pour ensuite la jeter sur des monticules. « Il fallait que la chicorée soit sans terre et sans feuille sinon le fermier rouspétait : ça pouvait mettre le feu à la fabrique. » Le travail durait du lever jusqu'au coucher du soleil, avec une pause à midi. « Au début, c'était pénible, j'avais des fessées dans les cuisses (des courbatures, ndlr) ! Je ne savais plus comment m'asseoir. » De temps en temps, Gilberte et ses 50 kilos allaient aider son mari pour ramasser les cossettes à la pelle.

Se préserver du besoin

« Plus la superficie était grande et plus on gagnait ! On savait que si le temps le permettait, ça nous faisait une poignée d'argent pour passer l'hiver tranquille. On se faisait sa petite cagnotte pour s'acheter une petite fantaisie ». Les arracheuses de chicorée étaient payées à la vergue (6,50 mètres de terrain sur 8). Elles pouvaient aller jusqu'à 100 vergues par jour ! Toutes espéraient une « bonne campagne à chicorée ». Mais toutes redoutaient le « coup d'eau du toussaint ». « La pluie était un handicap pour tout le monde. On revenait trempé jusqu'aux os avec nos bottes et nos vieux imperméables. » En 1951, grâce au fruit de ses récoltes, Gilberte s'est offert sa première télévision. •

CHLOÉ TISSERAND (CLP)    

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Source : La Voix du Nord

dimanche 11.10.2009 | VIEILLE-EGLISE |

Des peintures d'écoliers pour la Fête de la Chicorée

peintures d'écoliers
Les enfants ont appris à dessiner les silhouettes de leurs camarades et des personnages en position assise ou debout.

Chaque vendredi après-midi, pendant quatre semaines, les 24 élèves de CM2 ont bénéficié des conseils de Michel Verclytte, artiste-peintre, ...
   pour élaborer leur oeuvre d'art qui sera exposée le week-end prochain lors de la Fête de la Chicorée.

« On sait maintenant que dessiner, c'est pas dessiner n'importe comment », affirme Laurina, 9 ans.

    « Il faut respecter la bonne taille des personnages », explique Ludivine, 10 ans. « Le plus dur, c'était le sable ! », lance Baptiste. « J'ai regroupé les enfants par quatre », détaille Michel Verclytte. « Je les aide à fabriquer un tableau où le personnage principal est Melle Chicorée. Elle est au bord de la mer. Aujourd'hui, on va installer les figurants et les cameramen. Les enfants peignent par morceaux. »Ils ont commencé par maîtriser l'acrylique pour faire le ciel, l'aluminium froissé, découpé et peint pour la mer et enfin le papier de soie froissé et collé, pour le sable. « On veut leur montrer que la peinture, ce n'est pas seulement de la gouache sur du papier, que le relief peut exister dans la peinture et que ça a un autre rendu », précise Grégory Lefebvre, instituteur des CM2. « C'est compliqué de travailler avec un peintre, on n'a pas 50 ans de métier ! », s'est exclamée Leny, 10 ans.
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Source : La Voix du Nord

samedi 10.10.2009 | AUDRUICQ |

La chicorée en vraie star de cinéma pour la neuvième édition de sa fête

La semaine du gout, chicorée
Pour la neuvième édition de la fête de la chicorée, la racine sera cuisinée à toutes les sauces, au propre comme au figuré.

Week-end festif autour de la chicorée principalement les 16, 17 et 18 octobre

  , mais pas seulement. Les festivités liées à la racine se multiplient, et des nouveautés apparaissent.

Spectacles de la fête de la chicorée.- Il y a désormais deux spectacles à Vieille-Église les 16 et 18 octobre. La promenade spectacle est toujours d'actualité. Il vaut mieux réserver, et rapidement, le vendredi étant déjà complet. Parallèlement, il y aura pour la première fois une animation de rue non stop sur le cinéma. La rue, Chicollywood, va s'animer avec des scènes du septième art. « La rue doit respirer la bonne ambiance », explique Michèle Hermant, présidente des Racines et des hommes.

  Cuisiner la chicorée.- Vincent Lutun n'est pas seulement un fabriquant de chicorée à Nouvelle-Église, il est aussi cuisinier. Dimanche 18 octobre, il en fera la démonstration en proposant ses nouvelles recettes sucrées et salées à base de cette plante, de 10 h 30 à 18 h à Vieille-Église.

D'autres artisans présenteront leurs produits à la chicorée : terrines, pâtisseries, bières, etc.

Déguster la chicorée.- Le repas gastronomique sera intégralement confectionné cette année par le chef de la Sole Meunière à Calais et Toque d'Opale, Didier Routier. Celui-ci sera chargé de faire un menu où la racine brute sera cuisinée, cuite ou crue.

Visiter le musée de la chicorée.- Pour tout savoir sur la chicorée, rien de tel que de parcourir l'exposition « Du champ à l'tasse » à Saint-Omer-Capelle. Les enfants pourront participer à des ateliers dont le thème est... le cinéma.

Participer à la vingtième semaine du goût.- Le château de Cocove à Recques-sur-Hem, le Saint-Blaise à Audruicq, Au Petit Pêcheur à Saint-Folquin et l'Auberge de l'Étoile à Oye-Plage proposeront du 10 au 18 octobre des menus à base de produits du terroir à prix préférentiels, de 25 à 32 E. Et cette année, le mardi 13 octobre, de 17 h à 20 h, la Chèvremarie, les Établissements Patey et le Saint-Blaise s'associent pour faire découvrir à l'occasion de portes ouvertes à la Chèvremarie des spécialités culinaires. Puis, ce sera le tour de Natur'Pom, du Moulin de Recques et l'Autruche du terroir le mercredi 14, chez le premier cité.

Repartez avec une voiture.- La CCRA lance « Avec ses commerces, ma ville est belle » en partenariat avec la CCI de la Côte d'Opale et le groupement des commerçants d'Audruicq. Les commerçants du territoire vous permettront peut-être de repartir au volant d'une voiture ou avec de nombreux lots.

Renseignements au 03 21 00 83 83.

www.ccra.fr

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Source : La Voix du Nord

samedi 10.10.2009 | VIEILLE-EGLISE |

Ouverture d'un cybercentre destiné aux seniors

Cyber-centre
  Ancrée dans le projet électoral, l'installation d'un cybercentre pour les seniors a trouvé son application mercredi.
  Sur les ordinateurs de l'école primaire, un groupe s'est essayé aux techniques informatiques. « Au début, vous allez chercher vos lettres, c'est normal », lance Ludovic Leroy, animateur à la mission locale d'Audruicq.
   Les doigts tâtonnent sur le clavier, l'esprit est concentré. « Pour les majuscules, c'est où il y a le cadenas ? », demande Marie-Louise, 61 ans. « Quand on n'a pas l'habitude, le maniement de la souris n'est pas facile », explique Pascal Friscourt, adjoint aux affaires scolaires. « Le cybercentre permet aux papys et mamys d'exploiter une autre forme de communication avec leurs petits-enfants », explique le maire, Dominique Pourre. Une dizaine de personnes sont inscrites. À 64 ans, Francine confie « Je veux acheter un ordinateur avec webcam pour discuter avec mes enfants qui sont loin. Je chercherai des recettes de cuisine ou de nettoyage ». À ses côtés, Francine, 63 ans, ajoute : « Et Ludovic explique bien. On croit tout savoir, mais non ! On peut encore apprendre beaucoup ».
     Tous les mercredis de 9 h 30 à 11 h 30, pendant quatre mois.
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Source : La Voix du Nord

mardi 29.09.2009 | VIEILLE-EGLISE |

Deux instituteurs sont venus d'Angleterre pour préparer leur année scolaire

Instituteurs Anglais
Les enseignants ont beaucoup échangé avec les élèves avant de repartir en Angleterre.
  Depuis deux ans, l'école Vermeer participe à un échange scolaire avec les élèves de l'école de Capel-Le-Ferne, située dans la banlieue de Douvres. Vendredi, deux de ses instituteurs ont présenté aux CE1 leurs futurs correspondants étrangers.

  « Les élèves anglais ont fait des fiches avec leur portrait dessiné. Ils indiquent en français leur âge mais aussi leur couleur ou leur animal préférés », précise le directeur, Grégory Lefebvre.
  Emma, 7 ans, raconte tout en chantant que elle aimerait avoir une correspondante fille.
  Cette année, pour discuter avec leurs correspondants, les CE1 et CE2 utiliseront la visioconférence avec un matériel plus moderne : un écran télévisé remplace le tableau blanc interactif. Les CM1 et CM2, via Fronter, un espace numérique de travail sécurisé, pourront interagir avec leurs homologues anglais en postant des mails, du son ou des images. Des vidéos aussi. James Blomfield, instituteur anglais de la classe 3 (CE1), a filmé les écoliers français pour que ses élèves puissent découvrir leurs visages et leur environnement. « C'est très différent. L'école anglaise est plus bruyante et plus colorée.
  En France, c'est plus diversifié parce que les enfants ne portent pas d'uniforme », remarque l'institutrice anglaise de la classe 5 (CM2), Carolyn Bedo. Profitant de cette visite pour s'échanger leur progression annuelle, les instituteurs essaient d'adapter leur travail et leur planning. « L'écart entre les deux écoles n'est pas important. Dans le cadre européen des langues, nous sommes confrontés aux mêmes objectifs », mentionne le directeur. Carolyn Bedo affirme : « Il y a un réel progrès scolaire. L'échange direct permet d'entendre la langue et de découvrir la culture française. Les enfants qui arrivent au top de la classe 6 sont bien meilleurs maintenant en français ».
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Source : La Voix du Nord

samedi 19.09.2009 | VIEILLE-EGLISE |

Le bureau de poste ferme... et déménage à la mairie

poste communale
D'ici novembre, la boîte aux lettres de La Poste sera installée devant la mairie de la commune.
Dans quelques semaines, les 1 300 habitants de Vieille-Église diront adieu à leur bureau de Poste. En théorie. Car dans la pratique, la mairie prépare l'ouverture d'un bureau de poste communal dans ses locaux. « Un moindre mal » pour Dominique Pourre.

  PAR ÉLODIE ADJOUDJ
    calais@lavoixdunord.fr

 La rue du Village, sa boucherie, sa boulangerie... et son bureau de poste. Plus pour très longtemps. Le 2 novembre, La Poste fermera, en effet, définitivement... Pour emménager à la mairie, dans la nouvelle agence postale communale.

 La direction de la Poste, notamment, avance une volonté de « s'adapter aux modes de vie des populations. » Mais les chiffres de fréquentation en baisse ont dû peser aussi. Ainsi, si 35 à 40 clients par jour franchissaient le seuil de l'agence en 2006, ils ne sont plus que 30 aujourd'hui.

Face aux propositions de la Poste, « une ouverture hebdomadaire réduite à 12 h, la gestion d'un relais poste commerçant ou la création d'une agence postale », le maire assume son choix. « C'est la moins mauvaise des solutions. Ma priorité, c'est le service public de proximité. Ça n'est pas de gaieté de coeur », plaide-t-il.

Un nouvel agent communal

Concrètement, le bureau actuel du maire deviendra donc le nouveau point d'accueil et un agent communal (une secrétaire) sera recruté en contrat aidé, 20 h par semaine. Une employée de la mairie sera également formée et la Poste versera une participation aux frais de gestion de 800 € mensuels. « L'essentiel des services seront maintenus », assure également la Poste.

Mais déjà, les premières inquiétudes pointent. « Qu'en sera-t-il de la confidentialité ? », s'interrogent les habitants. « La mairie n'aura pas du tout accès aux données bancaires. Le logiciel ne lui permettra pas », rassure la Poste. En revanche, elle confirme que le retrait d'argent par semaine sera limité. Les usagers devront alors se rendre dans les bureaux de Poste les plus proches, à Audruicq ou Oye-Plage. Autre interrogation : l'agence communale accueillera également les usagers de Nouvelle-Église et de Saint-Omer-Capelle, sans que ces communes ne participent aux frais. « C'est vrai mais d'autres l'ont déjà fait pour nous », note le maire. Partant du principe qu'un village qui perd un service est un village qui se meurt, sa priorité est ailleurs. •

> L'agence communale sera ouverte tous les matins du lundi au samedi, de 8 h 30 à 12 h, et les mardis et vendredis de 14 h à 16 h.

Source : La Voix du Nord

mercredi 16.09.2009 | VIEILLE-EGLISE |

Un petit tour du côté de la nouvelle garderie

garderie VE
Entourés par trois animatrices de l'association Temps Libre, les enfants, vendredi, ont pris tranquillement leur goûter autour d'une table ronde de la nouvelle garderie.
 «  Cette garderie est plus jolie », assure Hugo, 6 ans. Alicia, 8 ans, confirme. «  Avant, la garderie se trouvait dans un un vieux préfabriqué dans la cour de l'école », décrit Déborah Dégardin, présidente de l'association. «  Tout a été aménagé et le matériel est neuf », précise Elodie Beaurin, une des animatrices. Et qu'en pense Martin, 2 ans ? Il ne dit mot mais son visage traduit sa satisfaction. Pour Léa, c'est la première fois qu'elle met les pieds sur le sol coloré.

Cette année, les nouveaux sont nombreux.

De 7 h à 9 h et de 16 h 30 à 19 h, l'association Temps Libre accueille en moyenne une dizaine d'enfants âgés de 2 à 12 ans. L'effectif peut grimper à 30 le mercredi ou en période de vacances. «  Il faut être motivé et être enfant dans la tête ! », confie l'animatrice Orlane Dégardin. «  Le contact avec les enfants est très agréable », indique Déborah. Quant à Elodie, qui quitte son poste en février, elle raconte avoir «  pris beaucoup de plaisir à exercer ce travail ».
Source : La Voix du Nord

lundi 14.09.2009 | VIEILLE-EGLISE |

Au village, le béguinage du Moulin préservera les traditions et les aînés

béguinage
Les bâtiments sont dotés de larges ouvertures et de murs de briques. Les appartements feront entre 70 et 80m².

Si tout se passe bien, en septembre 2010, le béguinage du Moulin devrait accueillir ses premiers locataires. Des personnes âgées à mobilité réduite. Un projet ambitieux pour la municipalité qui souhaite garder cette génération et la maintenir dans un cadre de vie rural.

"L'objectif, c'est que les personnes âgées gardent leur indépendance et puissent rester au village ", explique le maire, Dominique Pourre. Le béguinage est situé aux abords de la route principale du centre de la commune, tout près des services de proximité. Et pour contrer l'isolement, une salle va être érigée pour que les aînés aient la possibilité de se retrouver.Le maire sourit : «  Ce n'est pas innocent d'avoir construit le béguinage près de l'école, on voulait qu'il y ait un lien intergénérationnel. » Les écoliers, dans le cadre de projets scolaires, iront cueillir des pommes ou des poires dans le futur verger intégré au béguinage.

Inspiré des bâtisses flamandes, l'espace est clos, bordé d'une berge qui sera aménagée à l'aide de plantes aquatiques et d'un muret d'un mètre cinquante de haut. Deux ponts permettront aux riverains de franchir les watergangs. Ils pourront aussi emprunter deux chemins piétonniers pour rejoindre leur domicile.
Et une cour pavée sera bâtie.

Quinze logements agréables et adaptés

«  Ce béguinage est une façon de défendre la ruralité, de la revendiquer, de la marquer », martèle Dominique Pourre. Les aînés du lotissement de Verte Campagne seront transférés et répartis dans les sept ensembles du site. Au total, 15 logements, dont quatre en duplex. Les autres amateurs, habitants de la commune ou des environs, seront sélectionnés sur dossier par la commission HLM.

«  Souvent les personnes âgées qui vivaient dans de grandes maisons se retrouvent seules parce que les enfants sont partis et elles préfèrent quelque chose de plus petit », constate Dominique Pourre. Les logements du béguinage oscillent entre 70 et 80 m². Jean-Marie Courbot, adjoint aux travaux, détaille : «  Tous les logements possèdent deux chambres pour que les habitants puissent accueillir quelqu'un, pour être soigné par exemple. Les accès sont calculés pour qu'un fauteuil roulant puisse circuler autour du lit. Dans la salle de bain, les douches sont au ras du sol. Le chauffage est central et électrique. » «  Il faut savoir que les toilettes se trouvent parfois à l'extérieur dans les anciennes maisons rurales et qu'elles n'étaient pas forcément équipées d'un chauffage central », ajoute le maire.

L'architecture du béguinage est unique. En briques, les murs laissent place à de grandes baies vitrées qui communiquent à l'avant et à l'arrière du bâtiment et évitent une surconsommation en électricité. Un système de récupération d'eau de pluie et une station d'épuration seront installés. Un garage et un parking achèveront la construction. L'architecte, Pierre Bernard, et les architectes paysagistes Leblanc/Vernacque ont dû s'adapter à la configuration du terrain. Les logements sont bas et les tuiles voilées pour ressembler aux maisons alentours. Ainsi, les gardiens de la mémoire communale ne seront pas dépaysés de leur bonne vieille campagne Viétiéglisoise.
Source : La Voix du Nord

dimanche 06.09.2009 | VIEILLE-EGLISE |

Une classe a été ouverte à l'école Vermeer

Nouvelle classe à VE
Entourée de grands écoliers, Josette Cugny, la nouvelle conseillère pédagogique, suivra de près les projets scolaires de l'école.
Jeudi, jour de rentrée. De nouveauté aussi. L'école primaire compte désormais une classe supplémentaire de CE1 et CE2. Eric Ennebeck, inspecteur de la circonscription d'Audruicq, a pu la découvrir.
L'inspection académique a donné son feu vert pour ouvrir une nouvelle classe. « Cette ouverture se fait dans le cadre du Regroupement Pédagogique Intercommunal (RPI) » précise le maire, Dominique Pourre.
 
  Une décision nécessaire : l'an passé, sur les deux écoles (maternelle et primaire) du RPI, 230 enfants étaient recencés. Un chiffre déjà conséquent. Mais cette année, ils sont 250 ! La dernière ouverture de classe du RPI remonte à l'année 2007. Elle concernait l'école maternelle Claude-Monet. « L'école primaire compte 140 enfants. L'an dernier, avec un total de cinq classes, on comptait 28 élèves élèves par classe.
  Depuis l'ouverture, on arrive à 23, ça allège beaucoup », remarque le directeur de l'école, Grégory Lefebvre. « Les CE1 étaient 34 ! Il fallait forcément les séparer. On a donc une classe pure de CE1 et une classe double CE1/CE2 confondus ».
 La nouvelle classe, ancienne garderie, dispose désormais d'un matériel adapté financé par la municipalité. Katia Schricke et Hélène Cadart se partageront le poste d'institutrice pour la classe de CE1 et CE2.
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Source : La Voix du Nord

Lundi 07.09.2009 | OYE-PLAGE |

Un concours photo autour du Platier d'Oye

concours photos
Les paysages du platier dans l'objectif.
À l'occasion de son 25e anniversaire, l'association des guides nature du Platier d'Oye organise un concours de photos, ouvert aux adultes des quinze communes de la communauté de communes de la région d'Audruicq.

Le thème porte sur la faune ou la flore de la réserve naturelle du Platier d'Oye. La photo peut être insolite, mais elle ne doit pas comporter de présence humaine.

La photo devra être au format 20 x 30. Elle peut être en couleur ou en noir et blanc. Les guides nature se chargeront de coller la photo sur un carton plume. Trois photos aux maximum pourront être présentées.

Le jury prendra en compte le respect du sujet l'harmonie globale l'intérêt artistique l'intérêt technique l'originalité.

Les photos seront accompagnées d'un bordereau d'inscription avec le nom, l'adresse et le numéro de téléphone du photographe, et d'une attestation indiquant qu'elles ont bien été prises sur le Platier d'Oye. Elles sont à envoyer avant le mercredi 30 septembre à l'Association des guides nature, « concours photos 2009 », BP 27 Mairie, 62 210 Oye-Plage.

Les photos seront exposées à la salle Dolto de Oye-Plage du 16 au 20 novembre : lundi 16 novembre, de 16 h à 18 h mardi 17, de 15 h à 18 h ; mercredi 18, de 10 h à 12 h et de 15 h à 18 h jeudi 19, de 15 h à 18 h et vendredi 20, de 15 h à 18 h. Elles pourront être présentées lors d'expositions ultérieures.

La remise des prix du concours photos aura lieu le samedi 14 novembre, à 18 h, salle de la cantine municipale à Oye-Plage.
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.(=> juillet-aout)
Perplexe
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